19/12/2025
Extraits
S’ils ont assumé une intervention qui a dérapé, leurs versions se sont entrechoquées à la barre.
19/12/2025
Extraits
S’ils ont assumé une intervention qui a dérapé, leurs versions se sont entrechoquées à la barre.
05/12/2025
Extraits
Le policier a été mis en examen pour «violences aggravées par trois circonstances (arme, réunion et par une personne dépositaire de l’autorité publique)» mais aussi pour «non-assistance à personne en danger», comme les neuf autres mis en cause dans cette affaire.
02/12/2025
Extraits
Première à témoigner, elle retrace, tremblante, « plus de vingt ans de contrôle permanent » exercé par son ancien conjoint sur elle et ses filles. Insultes, dénigrement, installation de caméra pour la surveiller… À la barre, elle décrit une vie d’isolement et de peur. « Je ne pouvais ni finir tard ni sortir boire un verre avec mes collègues », raconte-t-elle.
(…) Parmi ses souvenirs abîmés, elle se rappelle du regard furieux de son patriarche et de ses mots : « J’ai vu une pute dans la rue, je me suis rendu compte que c’était ma fille. » Elle raconte le déferlement de « coups de poing au visage, sur les bras et sur les cuisses », qu’elle aurait subi juste après.
(…) De son côté, le prévenu nie tout en bloc en balbutiant, se disant « choqué » de ses accusations « fausses » et « complètement inventées ».
(…) « Il nous a dit : “Je vais vous tuer“ », rapporte-t-elle, tremblante, au tribunal. Elle ajoute : « Je nous ai vues mourir ce jour-là. » Léa n’a pas oublié non plus. De son côté, Saïd E. assure que cet épisode « n’a pas eu lieu ».
08/09/2025
Extrait
Pour avoir frappé au visage un homme de 19 ans en 2022, des policiers ont été jugés. Bien que les coups soient filmés et que le motif de l’interpellation ne soit pas réglementaire, ils ont été relaxés. La victime a été condamnée pour outrage.
01/08/2025
Extrait
Lors de l’audience au tribunal de Lille, ce mercredi 30 août à la barre, une mère de famille présente au moment des faits confirme la version du prévenu. Elle affirme avoir entendu l’un des policiers lancer : « Qu’est-ce que tu vas faire avec ton téléphone ? », juste avant que de nouveaux coups ne soient portés sur l’individu. Elle complète le récit : « Il [D.N] n’arrêtait pas de crier, il nous demandait de filmer ». Une fois l’homme installé à l’arrière du véhicule de police, elle dit avoir perçu d’autres bruits de coups, accompagnés d’insultes émanant des agents.
Au final, un policier s’en sort avec une plaie à l’arcade. Le prévenu, lui, présente plusieurs contusions et blessures sur le corps, un de ses yeux est sérieusement atteint. Un médecin légiste lui prescrit dix jours d’ITT avant son transfert aux urgences ophtalmologiques.
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Extrait
Après avoir quitté les lieux quand l’animatrice du groupe est intervenue, les policiers ont porté plainte et les jeunes ont été placés en garde à vue, y compris celui qui avait un temps perdu connaissance et se plaignait de maux de tête.
Il a dû attendre la fin de sa garde à vue pour se rendre à l’hôpital : souffrant d’un hématome extradural, il a été transféré en urgence à Nice, opéré à crâne ouvert et garde une grosse cicatrice sur le côté du crâne.
(…) L’enquête confiée à l’IGPN, la « police des polices », a cependant permis d’inverser les responsabilités, grâce en partie à un témoin qui s’était présenté sur les lieux mais n’a été entendu que des mois plus tard.
Cet homme a évoqué un « déferlement de violences », avec des coups au visage du jeune le plus touché alors même qu’il était à terre.
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À 44 ans, il est accusé d’avoir frappé plusieurs détenus. Il a été entendu le mardi 24 juin 2025 par la Division de la criminalité territoriale des Yvelines, basée à Viroflay. L’affaire a éclaté suite à des plaintes de plusieurs prisonniers, neuf précisément.
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L’agent de police mis en cause, fort de plus de 20 ans de service, faisait face à trois délits présumés, survenus en juin et en juillet 2024, et ayant donné lieu à une enquête de l’Inspection générale de la Police nationale (IGPN). Cette dernière avait conclu à un « usage de la force ni nécessaire, ni proportionné ».
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Cette action symbolique a déclenché un véritable délire répressif, avec l’envoi de brigades d’intervention et d’échelles pour déloger les grimpeurs et grimpeuses, entourées de hordes d’agents provocants.
Les policiers ont manqué de faire tomber des personnes qui étaient montées sur la statue, et ont fait des arrestations. En parallèle, des charges à coup de matraque et de gaz lacrymogène ont eu lieu pour vider la place. Des violences policières gratuites se sont poursuivie dans une foule composée en partie de touristes et de passant-es. Un homme a reçu des coups de poing de la part d’un policier, avant que son supérieur ne lui dise de faire attention, car «il y a des caméras».
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Le 10 mars 2025, alors qu’il escorte une personne au CHPF, le policier perd son sang-froid face aux comportements virulents du concerné et le frappe à plusieurs reprises. Plusieurs jours d’ITT lui ont été prescrits.
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Ex-compagnes de gendarme, Sarah et Alizé ont longtemps été victimes de violences conjugales. Après des années de douleur et de lutte, elles brisent l’omerta.
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Un policier des Côtes-d’Armor est soupçonné d’avoir commis des violences au préjudice d’un couple. On lui reproche aussi une interpellation injustifiée.
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Un gendarme du PSPG de Creys-Malville était poursuivi, ce mardi 1er avril à la barre du tribunal de Vienne, pour avoir frappé de plusieurs coups de poing un jeune homme réputé dangereux, lors de son interpellation le 8 octobre 2018 à L’Isle-d’Abeau. Ses deux collègues pour dénonciation calomnieuse.
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« Cette affaire questionne sur la fiabilité que l’on peut accorder aux services de police », a tonné le procureur de la République de Créteil (Val-de-Marne)
(…)« Les policiers sont responsables de son préjudice », estime de son côté le procureur qui assure que les fonctionnaires « ont menti ».
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Kaïs, étudiant de 18 ans, auteur de la vidéo, explique à France 3 : «Raphaël a juste avancé avec son pied levé et un policier l’a étranglé. Quand j’ai sorti mon téléphone, il a arrêté de l’étrangler et il lui a mis un coup de poing. Il s’en est réjoui ! Il s’en vantait après, auprès de ses collègues». «Mon réflexe a été de filmer, sinon, on ne m’aurait jamais cru» précise le jeune homme. Ce n’est pas facile, mais tentez d’imaginer les valeurs morales et le rapport au monde d’individus armés qui n’hésitent pas à cogner sur une personne en fauteuil. Et souvenez-vous que ces gens sont couverts par l’uniforme, chouchoutés par les médias, généreusement payés et félicités quasiment tous les jours par le gouvernement.
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À quelques jours du jugement, l’avocate de la victime dénonce la “superficialité des investigations” dans ce dossier.
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En septembre 2022, alors qu’il était encore en fonction au sein du peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) de Saint-Claude, un gendarme a adressé des coups sans motif légitime au visage d’un jeune homme interpellé.
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Dissuadé de porter plainte par le gendarme de Pontivy
Ces deux-là sortaient en fait du Plaza Café lorsqu’ils avaient été interpellés par deux hommes « en civil » : une rixe avait ensuite éclaté et Maxence X aurait – selon le récit même du gendarme qui l’accompagnait – porté « quatre coups » à un des deux hommes alcoolisés, dont un alors qu’il gisait au sol.
(…) L’autre plaignant avait bien tenté de déposer plainte à la gendarmerie de Pontivy, au lendemain des faits. Mais en arrivant sur place, il avait « reconnu un gendarme comme étant l’un de leurs agresseurs »…
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Une gifle. Puis deux coups de poing en pleine figure. En ce 19 novembre 2022, Youssef (le prénom a été changé) vacille au milieu du réfectoire du centre de rétention administrative (CRA) de Vincennes, dans le XIIe arrondissement de Paris. Le policier qui lui fait face est bâti comme une armoire à glace. Et frappe si fort qu’il fait tomber le ressortissant algérien de 39 ans.
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Seuls présents avec l’homme lors de son transfert au commissariat, Théo P. et sa coéquipière prétendent s’être défendus d’un coup au visage, avant que, selon leurs dires, Tamer Miskir ne se frappe lui-même le visage contre la portière du véhicule, tout cela alors même qu’il était menotté. Après l’avoir passé à tabac, les forces de répression l’ont vraisemblablement laissé à l’agonie dans leur voiture, sans lui apporter de soins et en le conduisant d’abord au commissariat, retardant sa prise en charge à l’hôpital.
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Quatre ans après la publication de « Flic », récit journalistique d’une infiltration au commissariat du XIXe arrondissement, le parquet de Paris demande à ce qu’un policier soit jugé pour des violences lors d’une interpellation.
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Alors qu’il venait chercher de l’aide auprès de policiers municipaux après s’être fait voler une paire de lunettes à la sortie d’un concert, le jeune homme de 26 ans avance avoir été frappé par un agent, en présence de deux collègues. Après une halte à l’hôpital européen, les policiers l’auraient emmené ensuite au commissariat de l’Évêché.
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Le jeudi 6 juin, une cinquantaine de lycéennes et lycéens ont été placés en garde à vue pendant 24 heures et sont actuellement poursuivis. Ce jour-là, à 18 heures, un déploiement disproportionnel de forces de police, incluant des compagnies de maintien de l’ordre destinées à lutter contre le grand banditisme et le terrorisme, est intervenu armé dans le lycée Hélène Boucher, exerçant des violences : gazages, gifles, menottage, coups, humiliation, insultes sexistes, homophobes, transphobes et racistes.
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Une nouvelle fois, la manifestation du 1er mai a été marquée par une importante répression policière, avec des charges contre le cortège à Paris, Toulouse ou Lyon, des manifestants matraqués à la tête et plusieurs dizaines d’interpellations.