UN ANCIEN CRS CONDAMNÉ À 10 ANS DE PRISON EN APPEL POUR LE VIOL DE SA CONJOINTE

Le Progrès


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« Quand l’institution judiciaire manque à ses devoirs, nous devons le reconnaître »

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MAIN ARRACHÉE D’UN GILET JAUNE EN 2018 : UN MAJOR CRS RENVOYÉ EN PROCÈS

Libératon


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Le parquet de Paris avait requis un non-lieu dans ce dossier. Mais le magistrat instructeur a estimé que si le policier, désormais âgé de 53 ans, n’était certes pas «animé par une volonté» de blesser Gabriel Pontonnier, il n’avait pas pris les précautions nécessaires avant de tirer. Selon lui, le mis en cause a lancé sa grenade «en direction d’un groupe d’individus» malgré «d’importantes quantités de fumées» et «l’obscurité» qui l’empêchaient de voir correctement.

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MEURTRE DE ZINEB REDOUANE : 6 ANS APRÈS, NI OUBLI, NI PARDON

CONTRE ATTAQUE


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Le ministre de l’Intérieur affirme que la mort de la victime n’est pas causée par la police. Pourtant, l’unité de CRS à l’origine du tir va refuser de faire expertiser ses armes : une obstruction à l’enquête. Des pratiques ouvertement mafieuses. Plus grave encore, on apprendra que des policiers ont «nettoyé» la scène du crime immédiatement, en allant récupérer les projectiles directement dans l’appartement de Zineb Redouane, alors agonisante. Tout aussi choquant, le procureur en charge du dossier se trouvait avec les CRS qui ont tiré au moment des faits ! Une photo prise le 1er décembre montre ce magistrat habillé en tenue de ninja au côté des lignes de police. L’homme en charge du dossier était donc aussi au cœur de la répression.
Comble du cynisme, il avait accusé les mauvaises conditions de prise en charge de la victime à l’hôpital d’être responsables de sa mort… Il a depuis été dessaisi du dossier. Une enquête du groupe de travail Index prouvera le tir du CRS vers la fenêtre en reconstituant précisément la scène. Le travail qu’aurait dû faire la justice a été mené par une ONG d’investigation indépendante.

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APRÈS 36 MOIS DE LUTTE, MALGRÉ LA RÉPRESSION POLICIÈRE, LES TRAVAILLEURS SANS-PAPIERS DU PIQUET CHRONOPOST ALFORTVILLE CONTINUENT LE COMBAT POUR LA RÉGULARISATION !

Solidaires


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Le jeudi 31 octobre, en début de matinée, sans avertissement, les forces de police dirigées par la préfecture du Val-de-Marne, ont encerclé en nombre et évacué le piquet de grève, légalement déclaré, installé depuis le 7 décembre 2021 devant l’agence Chronopost d’Alfortville.
Les travailleurs présents ont été tirés de leurs abris, éloignés derrière des cordons de CRS, tandis que les pelleteuses saccageaient le campement et jetaient le tout, y compris les affaires personnelles de nombreux camarades, dans des bennes à ordures. Plusieurs d’entre eux ont même perdu passeport, documents d’identité, documents personnels et argent.

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EN MARTINIQUE, L’ARRIVÉE DE LA CRS 8 RAPPELLE LE DOULOUREUX PASSÉ DE L’ÎLE AVEC CETTE UNITÉ DE POLICE

HUFFINGTON POST


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Cette description résonne comme un triste écho aux émeutes de décembre 1959 en Martinique, date à partir de laquelle « aucune compagnie républicaine de sécurité n’avait été autorisée à intervenir » sur l’île, souligne le média ultramarin.
Cette année-là, trois jours de soulèvement provoqués par un banal accident de la route sur fond de crise économique et sociale avaient conduit à des émeutes entre la police nationale − dont un détachement de CRS − et de jeunes manifestants martiniquais. Bilan ? Trois jeunes tués par les forces de l’ordre, provoquant un grave choc chez les responsables politiques locaux, extrêmement surpris par la brutalité des forces de l’ordre déployées.

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GILETS JAUNES MATRAQUÉS PAR DES CRS DANS UN BURGER KING À PARIS EN 2018 : LES POLICIERS VONT ÊTRE JUGÉS


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Six ans après les faits, la justice a décidé de renvoyer neuf CRS devant un tribunal pour avoir matraqué des Gilets jaunes dans un restaurant Burger King à Paris en décembre 2018. Ils sont poursuivis pour violences volontaires aggravées.

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GILETS JAUNES MATRAQUES DANS UN BURGER KING : LES AVOCATS ACCUSENT LE PARQUET DE « PROTÉGER LES POLICIERS »

Le Parisien


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Neuf CRS sont mis en examen pour violences volontaires. L’instruction est terminée et l’avis du parquet attendu depuis un an.

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ALERTE COBRA

lundimatin


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Quand Verney-Carron offre de nouvaux jouets aux CRS

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RACISME ET ANTISÉMITISME : LES MESSAGES D’UNE UNITÉ DE CRS SUR WHATSAPP RÉVÉLÉS PAR LE «CANARD ENCHAINÉ»

Libération


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Dans une enquête à paraître mercredi 26 juin, l’hebdomadaire révèle les photomontages racistes et antisémites partagés par l’unité CRS 4 sur leur boucle WhatsApp. Après avoir relaté des dérives à sa hiérarchie, le commandant de cette brigade aurait été évincé.

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RENNES. LA POLICE RÉPRIME LA PRIDE CONTRE L’EXTRÊME DROITE ET LES ATTAQUES ANTI-TRANS

Révolution Permanente


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La répression de la pride : la réalité derrière le pinkwashing de la mairie PS
À mi-chemin sur le parcours de la manifestations, les CRS qui l’encerclaient ont tenté de la disperser sous les gaz lacrymogènes, provoquant un mouvement de foule durant lequel plusieurs personnes ont été blessées. Bloqué par les forces de répression, le cortège unitaire a fini par se dissoudre dans la manifestation. Mais la répression ne s’est pas arrêtée là puisqu’après la marche, des manifestants ont été violemment réprimés par la police dans le centre-ville.

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ACCUSÉ D’AVOIR TIRÉ SUR UN JEUNE À NANTES EN 2018, UN POLICIER SERA BIEN JUGÉ DEVANT LA COUR CRIMINELLE

France Bleu


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Alors brigadier-chef membre d’une compagnie de CRS, le policier est accusé d’avoir tué Aboubacar Fofana, 22 ans, le 3 juillet 2018, lors d’un contrôle routier dans le quartier du Breil, à Nantes. Après avoir invoqué la légitime défense, le mis en cause a plaidé en garde à vue un tir accidentel, expliquant qu’il tentait de se pencher dans l’habitacle du véhicule pour saisir le volant et empêcher Aboubacar Fofana de fuir.

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PARTI DE L’ORDRE : LA POLICE ET L’EXTRÊME DROITE S’ÉCHANGENT DES MÉDAILLES

Contre Attaque


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Le devoir de réserve dans la fonction publique ? Pff, une règle qui ne s’applique qu’aux profs wokistes et aux soignants ! Ça fait longtemps que la police affiche ouvertement ses idées d’extrême droite sans se cacher, et avec le soutien du gouvernement.

(suite…)
UN POLICIER JUGÉ À ROUEN : « JE NE SUIS PAS LÀ POUR TAPER SUR LES GENS »

Mediapart


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Grâce à une vidéo, un policier comparaissait jeudi devant le tribunal correctionnel de Rouen pour des faits de violences envers un manifestant. Muré dans son amnésie, il écope de six mois de prison avec sursis mais sans interdiction de détenir une arme.