26/11/2025
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Après un tir de grenade assourdissante, plusieurs personnes ont été légèrement blessées.
26/11/2025
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Après un tir de grenade assourdissante, plusieurs personnes ont été légèrement blessées.
30/10/2025
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Le tireur était hors service et alcoolisé. Son collègue, qui a été blessé par le tir, n’a pas déposé plainte. Cette histoire est scandaleuse en tous points. D’abord parce qu’un fast food est un endroit très fréquenté, avec de nombreuses familles, et que le tir aurait pu faucher n’importe qui. Ensuite parce que cela nous rappelle que des dizaines de milliers de policiers peuvent se balader en permanence avec une arme mortelle sur eux, même en-dehors de leur service, et y compris en étant bourrés. Cette mesure avait été prise en 2015, au nom de l’antiterrorisme. Enfin parce qu’une telle affaire passe globalement inaperçue.
21/10/2025
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Aujourd’hui, dans le Journal des luttes, on s’arrête à Nanterre, où la tension est montée d’un cran. La présidence de l’université a fait intervenir les CRS pour évacuer le collectif des sans-facs, des étudiants qui occupaient un bâtiment pour réclamer une inscription à la fac. Une décision qui choque, d’autant plus qu’elle vient d’une présidence qui se revendique “de gauche”. Sur le campus, la colère est vive : des étudiants dénoncent une répression inacceptable, d’autres s’inquiètent du message envoyé à toute une génération. Parce qu’au-delà de Nanterre, c’est un problème national : chaque année, des milliers de jeunes se retrouvent sans inscription, laissés de côté par le système.
09/10/2025
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Visé par une enquête de l’IGPN, l’Inspection générale de la police nationale, pour « manque à son devoir de probité »
(…) n’a finalement écopé d’aucune sanction au terme de l’audience. Il a d’ailleurs déjà repris ses fonctions auprès du groupe de Didier Deschamps.
(…) Les représentants de l’IGPN siégeant au conseil de discipline ont proposé une sanction sous forme de retraite anticipée. Un avis unanimement rejeté par les représentants syndicaux, qui composent la moitié du conseil.
07/10/2025
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la préfecture de l’Hérault a mis en place un dispositif pour empêcher toute manifestation pro-palestinienne non déclarée.
02/10/2025
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« On reste quelques minutes assis, à chanter des slogans antifascistes et de manifestation. Les CRS organisent alors une charge, et la violence commence, sous les yeux de l’administration », raconte un élève.
Poussées, coups de matraque, blessures : plusieurs élèves sont touchés. Un lycéen mineur est emmené de force, interrogé, puis placé en garde à vue pendant huit heures, avant d’être relâché sans explication.
01/10/2025
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Impossible de deviner que, le 26 mai 2016, ce Parisien a frôlé la mort sur un trottoir du 12e arrondissement, en marge d’une manifestation contre la « loi travail ». Le bouchon allumeur d’une grenade à main de désencerclement (GMD) jetée par un policier lui avait alors causé un enfoncement crânien et une grave hémorragie cérébrale.
Neuf ans plus tard subsistent des migraines persistantes, une épilepsie nécessitant un traitement à vie, et l’amère sensation d’avoir été abandonné par la justice. Après des années de procédure, le policier responsable de sa blessure a été définitivement blanchi.
19/09/2025
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La société des journalistes de France Télévision accuse la police d’être à l’origine du tir qui a blessé l’un de ses reporters jeudi 18 septembre à Lyon.
(…) « Étant donné la trajectoire du projectile, il parait évident qu’il provient des forces de l’ordre »
(…) « Quelques secondes plus tard, notre collègue a reçu un projectile sur son sac à dos. L’engin a explosé, déchirant le sac, sa chemise et entraînant des brûlures au dos et des acouphènes. »
13/09/2025
Alexandre, le CRS, en arrêt maladie, a été identifié à la suite d’une dispute violente avec sa femme en pleine rue. Une passante a appelé la police qui s’est rapidement approchée du couple. Pour se présenter, Alexandre a montré aux agents de police sa carte professionnelle de CRS sur son téléphone.
C’est à ce moment précis qu’un message s’est affiché sur l’écran : « J’ai besoin d’un gramme ».
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L214 dénonce les conditions d’élevage intensif et d’abattage, souvent contraires aux règles de protection animale. Alors que la loi Duplomb vient d’être adoptée, autorisant des pratiques controversées, les actions pour défendre le bien-être animal se heurtent à une répression grandissante.
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Non seulement le commandant divisionnaire S., mis à la disposition de la Fédération française de football (FFF) depuis 2004, ne travaille pas autant qu’il le devrait, mais, en plus, il se fait payer au noir pour des prestations privées par un certain Kylian Mbappé.
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Un témoin de la scène a posté une vidéo sur les réseaux sociaux. On y voit au moins deux personnes être maintenues ou tirées au sol par des CRS, sur un espace enherbé du boulevard du Maréchal-Juin, à Caen (Calvados). Certains de ces policiers leur arrachent des mains une banderole qui visait à soutenir les Palestiniens, après leur avoir déjà confisqué des drapeaux.
(…) pour s’opposer à la présence de l’équipe Israël Premier Tech sur la Grand Boucle.
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Les investigations ont été lancées à la fin du mois de mars à la suite d’un signalement de l’IGPN relatif à des violences qui auraient été commises par des fonctionnaires de police lors de l’évacuation de 450 jeunes du lieu culturel, le 18 mars.
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Après des tensions à Tours, une manifestation a été interdite à Nantes. Bruno Retailleau, via le préfet, a déployé des moyens policiers hors normes face au petit millier de manifestants qui a bravé l’interdiction. Protégeant ainsi son allié, mécène et partisan de « l’union des droites ».
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Ce type de dispositif de répression, qui est désormais systématique à chaque moment de liesse populaire, ne sert qu’à générer du chaos et toujours plus de violences. Charges, colonnes de motards de la BRAV qui frappent au hasard, matraquages au sol, coups gratuits sur des personnes en fuite… Une véritable stratégie de la tension.
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« Je n’ai pas compris pourquoi les forces de l’ordre ont chargé », a-t-il ajouté.
Constantin a dit n’avoir « pas eu le temps » de se « protéger » et s’être pris « des coups de matraque », d’abord « sur la tête », « derrière la tête », puis « dans le dos » et « l’épaule gauche ».
Déséquilibré par la charge, Constantin a raconté s’être retrouvé sur une rambarde d’accès à un parking dont il a « basculé », « tombant de 3 ou 4 mètres », « sur les mains ».
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Une démonstration de soutien violemment réprimée au lycée des Pontonniers où les élèves mobilisés ont été très violemment délogés par les forces de police qui n’ont pas hésité à leur asséner des coups de bouclier, à les plaquer brutalement au sol ou à leur projeter du gaz lacrymogène à bout portant. Une brutalité telle qu’un lycée a été transféré aux urgences par les pompiers après avoir été aspergé de gaz lacrymogène au visage.
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Sans sommation, une dizaine de CRS ont alors fait une première charge dans la foule, bousculant au passage une famille avec deux enfants, choqués par l’événement.
Les manifestants se sont dispersés peu après le lancement du meeting d’Éric Zemmour, qui a pris la parole pendant près d’une heure. Plusieurs manifestants ont été verbalisées.
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« Ils ont tapé nos enfants. Et c’est tout le quartier qui a été tapé, ils mélangent tout: les dealers, les habitants. C’était un lynchage… »
La dalle de Roquebillière est chauffée à blanc. Mardi 22 avril, lendemain de Pâques, la plateforme de ce quartier de Nice-Est est un brasier de colère. Des mères, des grands-mères, le poing levé.
Elles parlent de » violences policières ». « Ils ont tabassé nos fils, ils les ont entraînés dans les blocs pour qu’on ne puisse pas filmer depuis les étages… »
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Une cinquantaine de CRS sont intervenus devant Science Po à Strasbourg pour mettre fin au blocage de l’établissement par des étudiants. Ceux-ci s’opposent à un partenariat avec l’université Reichman en Israël
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« Nous étions à 300 ou 400 mètres de Bastille, on ne voyait pas d’échauffourées mais on a commencé à voir des personnes revenir de la place. On a donc décidé de faire demi-tour, raconte Martine J. à CheckNews. Avec mon mari, mon beau-frère et ma belle-sœur, on se trouvait sur le trottoir de droite. Les policiers ont surgi d’une rue à gauche et ont entrepris de faire un barrage en travers du boulevard… »
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Ce sont des images devenues banales en France, mais qui ne devraient jamais être normalisées. À Paris, le 22 mars, alors que la manifestation contre le racisme réunissait 100.000 personnes dans le plus grand des calmes, les forces de l’ordre ont à nouveau choisi de faire monter la tension en fin de journée.
Une attaque pour voler une banderole antifasciste, du gaz, des coups, des charges ne servant qu’à faire peur sur un cortège de manifestants lambda, un homme jeté au sol… et un coup sur un journaliste.
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Comme lors du mouvement social des travailleur·euse·s du nettoyage, Luis Vassy, le directeur de Sciences Po, fait son timide et s’enferme dans son bureau. « Timide » lorsqu’il s’agit de discuter avec les étudiants·es ou le personnel mais beaucoup moins lorsqu’il s’agit d’appeler une douzaine de camions de CRS. Il aura mis moins d’une heure à donner l’ordre d’évacuer les occupant·es : « plus d’une centaine de policiers se sont dirigés vers le campus de St-Thomas. Lourdement équipés (lacrymos, casques, matraques et boucliers) ils ont peu après fait irruption dans l’établissement » relate les membres du comité Palestine dans leur post.
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Tôt ce mercredi matin, plusieurs camions de CRS ont été envoyé sur le campus de l’université Rennes 2. L’objectif ? Expulser une occupation étudiante, votée deux jours plus tôt en Assemblée Générale, pour protester contre les mesures austéritaires imposées à l’université.
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Le 24 novembre 2018, alors qu’une manifestation de « gilets jaunes » avait lieu à Paris, Maxime W., 29 ans, avait été mutilé dans l’explosion d’une grenade lancée par un CRS, se voyant prescrire 21 jours d’incapacité totale de travail (ITT).
Une information judiciaire avait été ouverte à Paris en mai 2019 pour violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique suivie d’incapacité supérieure à 8 jours.
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Kaïs, étudiant de 18 ans, auteur de la vidéo, explique à France 3 : «Raphaël a juste avancé avec son pied levé et un policier l’a étranglé. Quand j’ai sorti mon téléphone, il a arrêté de l’étrangler et il lui a mis un coup de poing. Il s’en est réjoui ! Il s’en vantait après, auprès de ses collègues». «Mon réflexe a été de filmer, sinon, on ne m’aurait jamais cru» précise le jeune homme. Ce n’est pas facile, mais tentez d’imaginer les valeurs morales et le rapport au monde d’individus armés qui n’hésitent pas à cogner sur une personne en fauteuil. Et souvenez-vous que ces gens sont couverts par l’uniforme, chouchoutés par les médias, généreusement payés et félicités quasiment tous les jours par le gouvernement.
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Depuis mardi 4 mars 2025, des étudiants occupaient la faculté de Lettres et sciences humaines Victor Segalen, à Brest (Finistère), pour protester contre la baisse du budget de l’enseignement supérieur. Ils ont été évacués ce jeudi matin à la demande du président de l’UBO. Quatre manifestants ont été placés en garde à vue.
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La mort d’Aboubacar Fofana, 22 ans, tué dans le quartier du Breil, à Nantes, lors d’un contrôle routier, sera au cœur d’un procès, en janvier 2026. Un policier sera jugé devant la cour criminelle de Loire-Atlantique.
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Rafles hebdomadaires, fichage des personnes étrangères, tags racistes et Centre de rétention… avec l’appui enthousiaste du PS
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En décembre 2018, des CRS avaient frappé plusieurs personnes venues se réfugier dans un Burger King, alors que la manifestation des « Gilets jaunes » dans la capitale tournait à l’affrontement. Neuf CRS seront jugés et encourent plusieurs années de prison.
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Lens et ses supporters ont vécu une mauvaise après-midi au Stade de la Beaujoire, les CRS étant accusés de violences contre des familles, des femmes et des enfants.
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En 2020, un garagiste a obtenu auprès de la CRS autoroutière de Saint-Priest-en-Jarez des informations confidentielles concernant des voitures. L’un des policiers assume : il s’est laissé acheter. Les deux autres maintiennent « avoir voulu aider un collègue ». Ils sont jugés pour détournement et corruption.
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Alors que plusieurs centaines d’étudiants entamaient leur parcours habituel pour se diriger vers le centre-ville, plusieurs camions de CRS leur ont barré la route pour empêcher le cortège de rejoindre le personnel mobilisé. Après que les étudiants aient tenté à plusieurs reprises de se rendre au rectorat, la police a violemment chargé plusieurs manifestant-es : des étudiants ont été matraqués, d’autres ont été jetés au sol, et un étudiant, syndiqué à l’Union Pirate, a été interpellé, frappé et menotté.
(…) Après avoir été empêché de manifester, les étudiants ont voulu poursuivre la mobilisation à Rennes 2. La police est venue cette fois-ci gazer les étudiants à proximité de la fac, et sont rentrés illégalement sur le campus.
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« Quand l’institution judiciaire manque à ses devoirs, nous devons le reconnaître »
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Le parquet de Paris avait requis un non-lieu dans ce dossier. Mais le magistrat instructeur a estimé que si le policier, désormais âgé de 53 ans, n’était certes pas «animé par une volonté» de blesser Gabriel Pontonnier, il n’avait pas pris les précautions nécessaires avant de tirer. Selon lui, le mis en cause a lancé sa grenade «en direction d’un groupe d’individus» malgré «d’importantes quantités de fumées» et «l’obscurité» qui l’empêchaient de voir correctement.
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Le ministre de l’Intérieur affirme que la mort de la victime n’est pas causée par la police. Pourtant, l’unité de CRS à l’origine du tir va refuser de faire expertiser ses armes : une obstruction à l’enquête. Des pratiques ouvertement mafieuses. Plus grave encore, on apprendra que des policiers ont «nettoyé» la scène du crime immédiatement, en allant récupérer les projectiles directement dans l’appartement de Zineb Redouane, alors agonisante. Tout aussi choquant, le procureur en charge du dossier se trouvait avec les CRS qui ont tiré au moment des faits ! Une photo prise le 1er décembre montre ce magistrat habillé en tenue de ninja au côté des lignes de police. L’homme en charge du dossier était donc aussi au cœur de la répression.
Comble du cynisme, il avait accusé les mauvaises conditions de prise en charge de la victime à l’hôpital d’être responsables de sa mort… Il a depuis été dessaisi du dossier. Une enquête du groupe de travail Index prouvera le tir du CRS vers la fenêtre en reconstituant précisément la scène. Le travail qu’aurait dû faire la justice a été mené par une ONG d’investigation indépendante.
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Le jeudi 31 octobre, en début de matinée, sans avertissement, les forces de police dirigées par la préfecture du Val-de-Marne, ont encerclé en nombre et évacué le piquet de grève, légalement déclaré, installé depuis le 7 décembre 2021 devant l’agence Chronopost d’Alfortville.
Les travailleurs présents ont été tirés de leurs abris, éloignés derrière des cordons de CRS, tandis que les pelleteuses saccageaient le campement et jetaient le tout, y compris les affaires personnelles de nombreux camarades, dans des bennes à ordures. Plusieurs d’entre eux ont même perdu passeport, documents d’identité, documents personnels et argent.
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Cette description résonne comme un triste écho aux émeutes de décembre 1959 en Martinique, date à partir de laquelle « aucune compagnie républicaine de sécurité n’avait été autorisée à intervenir » sur l’île, souligne le média ultramarin.
Cette année-là, trois jours de soulèvement provoqués par un banal accident de la route sur fond de crise économique et sociale avaient conduit à des émeutes entre la police nationale − dont un détachement de CRS − et de jeunes manifestants martiniquais. Bilan ? Trois jeunes tués par les forces de l’ordre, provoquant un grave choc chez les responsables politiques locaux, extrêmement surpris par la brutalité des forces de l’ordre déployées.
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Six ans après les faits, la justice a décidé de renvoyer neuf CRS devant un tribunal pour avoir matraqué des Gilets jaunes dans un restaurant Burger King à Paris en décembre 2018. Ils sont poursuivis pour violences volontaires aggravées.
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Jeudi 1er août, neuf CRS ont été renvoyés en correctionnel par le Parquet de Paris. Ils ont été mis en cause pour des violences policières survenus en décembre 2018, en plein mouvement des Gilets Jaunes, pour avoir frappé des manifestants qui s’étaient réfugiés dans un Burger King, près des Champs-Elysées.
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Neuf CRS sont mis en examen pour violences volontaires. L’instruction est terminée et l’avis du parquet attendu depuis un an.
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Quand Verney-Carron offre de nouvaux jouets aux CRS
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Dans une enquête à paraître mercredi 26 juin, l’hebdomadaire révèle les photomontages racistes et antisémites partagés par l’unité CRS 4 sur leur boucle WhatsApp. Après avoir relaté des dérives à sa hiérarchie, le commandant de cette brigade aurait été évincé.
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La répression de la pride : la réalité derrière le pinkwashing de la mairie PS
À mi-chemin sur le parcours de la manifestations, les CRS qui l’encerclaient ont tenté de la disperser sous les gaz lacrymogènes, provoquant un mouvement de foule durant lequel plusieurs personnes ont été blessées. Bloqué par les forces de répression, le cortège unitaire a fini par se dissoudre dans la manifestation. Mais la répression ne s’est pas arrêtée là puisqu’après la marche, des manifestants ont été violemment réprimés par la police dans le centre-ville.
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Alors brigadier-chef membre d’une compagnie de CRS, le policier est accusé d’avoir tué Aboubacar Fofana, 22 ans, le 3 juillet 2018, lors d’un contrôle routier dans le quartier du Breil, à Nantes. Après avoir invoqué la légitime défense, le mis en cause a plaidé en garde à vue un tir accidentel, expliquant qu’il tentait de se pencher dans l’habitacle du véhicule pour saisir le volant et empêcher Aboubacar Fofana de fuir.
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Cette intervention est « une réponse disproportionnée et sécuritaire », ont estimé deux étudiantes du Comité Palestine, qui regrettent par ailleurs l’absence d' »aide médicale » auprès des sept étudiants ayant entamé la veille une grève de la faim.
(…) « La lutte du peuple palestinien, la solidarité avec ce peuple qui subit un génocide à gaza, il faut qu’elle continue à s’exprimer, c’est pour ça qu’on a continué à occuper ».
(…) « La fermeté est, et restera, totale », prévient le gouvernement français au sujet de l’intervention policière de ce vendredi.
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Grâce à une vidéo, un policier comparaissait jeudi devant le tribunal correctionnel de Rouen pour des faits de violences envers un manifestant. Muré dans son amnésie, il écope de six mois de prison avec sursis mais sans interdiction de détenir une arme.