DÉFENSE COLLECTIVE, UN GROUPE D’EXTRÊME GAUCHE RENNAIS, DISSOUT PAR LE CONSEIL DES MINISTRES


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« DefCo », aussi prénommé « DC », est apparu à Rennes en 2016, à l’époque où les manifestations contre la loi Travail s’enchaînaient dans la capitale bretonne.
Sur les réseaux sociaux, « Défense Collective » propose entre autres des caisses de soutien aux personnes inculpées. Il s’agit en fait d’une « legal team », c’est-à-dire un groupe de soutien juridique contre la répression d’évènements militants.
Il en existe dans de nombreux pays. D’ailleurs, le collectif DC est également présent dans plusieurs villes de France, comme Paris, Marseille, Toulouse.

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« 7 AMENDES POUR UNE MANIF’ » : QUAND LA POLICE S’ACHARNE SUR UN MILITANT INSOUMIS DE RENNES

Le Face Cam


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Le 16 novembre dernier, lors d’une simple « casserolade » contre la venue d’Olivier Dussopt dans la capitale bretonne, le jeune homme a reçu un total de 709 euros d’amendes pour avoir osé manifester un peu trop bruyamment, selon les forces de l’ordre.

RACISME D’ÉTAT. RENNES. TOUS DANS LA RUE SAMEDI POUR EXIGER JUSTICE POUR BABACAR ET LES VICTIMES DE VIOLENCES POLICIÈRES

Révolution Permanente


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Un combat judiciaire de longue haleine, marqué par de nombreuses incohérences : que ce soit la destruction de l’arme du tireur « par erreur » en 2018, la « disparition » de la dernière balle, les témoignages de policiers qui ne correspondent pas à l’expertise médico-légale et balistique, ou encore le fait qu’à huit policiers, ils aient été incapable de maîtriser un seul homme, tout indique que l’argumentaire de « légitime défense » avancé par les policiers ne tient pas la route. Pourtant, après un premier non-lieu contesté, la justice a décidé de blanchir les policiers et a tranché un deuxième non-lieu en mai 2023.

HARCÈLEMENT SEXUEL EN PRISON : LE TRIBUNAL DE RENNES POINTE LA RESPONSABILITÉ DE L’EMPLOYEUR

Ouest france


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Un surveillant pénitentiaire de Rennes, soupçonné de harcèlement sexuel, avait été relaxé, en 2021. Le tribunal administratif vient toutefois de condamner l’administration pénitentiaire, pour ne pas avoir protégé la salariée qui avait porté plainte.