Un policier et un faux agent ont été condamnés par la justice pour escroquerie. Ils exigeaient 50.000 euros auprès de propriétaires d’un immeuble squatté pour expulser les habitants.
Les policiers sont soupçonnés de multiples infractions de corruption, de complicité d’importation de stupéfiants, de vols en bande organisée et de faux en écriture publique. Ils appartenaient au groupe d’enquêteurs chargé de réprimer l’importation de drogue en provenance des ports et des transports
Au moins deux agents passés par l’Ofast ou encore dans ce service d’élite sont visés par une enquête ouverte pour soupçons de corruption, complicité d’importation de stupéfiants et vols en bande organisée. Une cargaison de 350 kg de cocaïne avait disparu à l’été 2023.
Il la missionnait, elle le missionnait. Résultat : le tribunal a relevé 210 réquisitions fictives pour elle, 171 pour lui alors qu’il ne parle que français. Une escroquerie qui s’élève à 100 000 euros payés par l’État. Et qui aurait pu continuer si le policier n’avait pas envoyé une attestation à la mauvaise personne : une vraie traductrice.
Un gendarme, en poste au sein du Peloton de surveillance et d’intervention de Loches jusqu’à début 2025, sera jugé en décembre après qu’une enquête a mis au jour son rôle d’intermédiaire dans des transactions immobilières en région parisienne.
L’affaire avait coûté la tête de l’ancien patron de la PJ corse et mis au ban sept de ses collègues de la police insulaire et de l’office central de lutte contre le crime organisé. (…) Les fonctionnaires sont poursuivis notamment pour « destruction, soustraction, recel et altération de document ou objet concernant un crime ou un délit par une personne concourant par ses fonctions à la manifestation de la vérité ». Ils sont également soupçonnés de « violation du secret professionnel. »
Des cubis de rhum remplis de cocaïne liquide Affectés à l’aéroport d’Orly, ces fonctionnaires sont accusés d’avoir facilité le passage de « mules » en échange de pots-de-vin. Elles transportaient de la cocaïne à l’état liquide depuis l’aéroport Félix-Éboué, dans des cubis de rhum.
Heures de travail non déclarées, fausses déclarations de frais kilométriques, salariés licenciés pour pouvoir en embaucher d’autres : entre 2019 et 2021, ce Lensois de 59 ans à la tête d’une société de sécurité privée a trompé le fisc. Une activité menée en parallèle de son métier de… policier municipal.
Mis en examen notamment pour vol et extorsion de fonds, un policier est suspecté d’avoir dérobé de l’argent dans un tripot clandestin. Placé sous contrôle judiciaire, il a interdiction d’exercer.
Trafic d’arme au PSPG de Golfech. Un jeune gendarme de 19 ans voit sa carrière prometteuse brutalement interrompue. Julian, fraîchement intégré au Peloton Spécialisé de Protection de la Gendarmerie (PSPG) de Golfech, une unité d’élite formée par le GIGN.
Jeudi 6 février 2025, un policier, accusé de travail dissimulé et d’avoir dispensé des formations sans autorisation, a été condamné par le tribunal de Saint-Brieuc.
La personne la plus lourdement condamnée est Roland Chervet, un commandant de police « complaisant », coupable, pour le président du tribunal correctionnel Pascal Gand d’une « dérive déontologique et éthique très inquiétante ». C’était ce commandant de police qui avait validé, de son initiative et alors qu’il était en congés, les 194 procurations illégales. En conséquence, il a été condamné à trois ans de prison dont un an ferme à effectuer sous bracelet électronique à domicile, et cinq ans d’inéligibilité.
Le chef de la police municipale de Grigny-sur-Rhône (Rhône) a été condamné à six mois de prison avec sursis pour avoir récupéré une trottinette déposée aux objets trouvés. Il avait remis de faux documents au véritable propriétaire certifiant que l’engin avait été restitué à une autre personne.
Un bout de papier a fait basculer la vie d’Aymen Ibrahim. Daté du 17 avril 2017 et signé par le policier Aaron Berkane, alors membre de brigade anticriminalité du XVIIIe arrondissement de Paris, ce procès-verbal l’accuse de détenir un sachet de cocaïne, découvert par hasard lors d’un contrôle routier. L’homme, de nationalité égyptienne et résidant en France depuis 2004, reproche dès son premier interrogatoire à la police de mentir et de lui avoir dérobé 450 euros en liquide au cours de son interpellation. En vain. La parole d’un immigré, sans papiers de surcroît, ne fait pas le poids face aux accusations des policiers.
[…] saisie de l’affaire, la section de recherches de gendarmerie d’Ajaccio procède aux premières vérifications. Au total, une quarantaine de procurations litigieuses sont retracées, comme le confirme une source proche de l’enquête auprès de Mediapart. Elles ont toutes été certifiées par le même gendarme, Ludovic P., arrivé en Corse en 2018 avant d’être affecté au peloton de surveillance et d’intervention de Boccognano.
« Le motif est dérisoire mais pas l’acte de modifier un état civil », a expliqué l’avocate générale, Caroline Gaziot. « C’est symbolique, encore plus pour un gendarme. » La magistrate, qui avait requis deux mois de prison avec sursis et six mois d’inéligibilité, a également noté chez le gendarme la « porosité entre la sphère personnelle et professionnelle » en citant une autre affaire au cours de laquelle il avait consulté un fichier pour le compte de sa belle-sœur.
En octobre 2023, une enquêtrice de police du commissariat de Tarbes qui a volé plus de 10 000 euros dans les scellés a été définitivement interdite d’exercer dans la fonction publique par le tribunal de Tarbes (Hautes-Pyrénées). Une décision que la policière a contestée en interjetant appel.
À Paris, le procès de Bernard Squarcini se poursuit devant la 11ème chambre correctionnelle. Au programme ce mercredi, un face à face avec François Ruffin. L’ancien patron sarkozyste du renseignement intérieur répond avec neuf autres prévenus d’un usage détourné des moyens de l’État au profit d’intérêts privés. Principalement ceux du groupe LVMH avec lequel le préfet était en contrat de 2013 à 2020. Si le géant du luxe a échappé à une convocation devant le juge pénal, son PDG Bernard Arnault est cité à la barre comme témoin. Troisième et avant-dernier volet de notre série.
Selon nos confrères de France Bleu Normandie, une directrice d’un service technique de la police nationale est visée par une enquête de l’IGPN pour soupçon de travail dissimulé en Seine-Maritime. Détails.
Dans cette affaire révélée par Camille Polloni (alors au Jours et désormais chez Mediapart), quelque six agents de le brigade anticriminalité du 18ème arrondissement sont en effet condamnés pour des faits de corruption, de trafic de stupéfiants, de violences et de procédures falsifiées.
Entre 2013 et 2016, LVMH a voulu faire taire le député de la Somme, avant qu’il ne soit élu de la Nation. A l’époque journaliste à la tête de l’impertinent trimestriel Fakir, le Picard indisposait au plus haut point la direction de la multinationale. Mais les opérations de basse police du géant du luxe, confiées à l’ex-grand flic Bernard Squarcini, ont tourné au fiasco et le trublion Ruffin s’est joué de son adversaire. Second volet de notre série, alors que le procès Squarcini débute ce mercredi à Paris.
Le policier de la Bac d’Amiens, au-dessus de tout soupçon au moment de son interpellation en mars 2023, est renvoyé devant la cour d’assises pour sept faits, à Chaulnes et Nesle. Il en reconnaît cinq.
L’ancien patron du renseignement intérieur français Bernard Squarcini comparait à partir du 13 novembre pour trafic d’influence devant le tribunal correctionnel de Paris, avec sept autres hauts fonctionnaires. Ils sont accusés d’avoir usé des moyens de l’État, détournés au profit de LVMH. Le géant du luxe ne sera pas sur le banc des prévenus : le 15 décembre 2021, au terme d’une convention judiciaire d’intérêt public (CJIP) conclue avec le parquet de Paris (1), le groupe et son patron Bernard Arnault ont accepté de payer une amende de 10 millions d’euros. De quoi échapper à un procès public – mais pas au ridicule.
Après le démantèlement d’un vaste trafic de véhicules, qui aurait empoché 3 millions d’euros, le cerveau de l’opération demande sa libération sous contrôle judiciaire. Cet homme sera fixé sur son sort mardi 29 octobre. Mais les charges qui pèsent sur lui sont accablante, d’après l’enquête de la section de recherches de Toulouse.
Le tribunal correctionnel de Créteil a prononcé jeudi des peines de douze et dix-huit mois de prison avec sursis, accompagnées d’interdictions professionnelles, contre ces agents jugés pour avoir volé de l’argent à des vendeurs à la sauvette et arrêté un adolescent sans motif.
Un policier rémois jugé pour vol et agression sexuelle dans l’exercice de ses fonctions a été condamné mercredi à quatre ans de prison dont deux fermes par le tribunal correctionnel de Reims.
Nouveau procès pour « Haurus ». Cet ancien policier de la DGSI comparaît pour corruption au tribunal judiciaire de Marseille jusqu’au jeudi 17 octobre. Mais ce n’est pas la première fois qu’il fait face à la justice. Entre son passé de ripou, sa carrière d’auteur et ses nouvelles activités en conseil pour les enquêtes criminelles, qui se cache derrière ce pseudo ?
Il n’a pas été démis de ses fonctions, mais a reçu un blâme gelant l’évolution de sa carrière pour les 5 prochaines années. Son complice a été condamné à 5 mois de prison avec sursis.
Le chef adjoint de la police aux frontières de Figari a été révoqué de la police nationale, à la suite d’un rapport accablant de l’IGPN. Il est mis en examen pour corruption et extorsion aux dépens de personnes étrangères en situation irrégulière.
Un jeune gardien de la paix du commissariat de Reims (Marne) a été placé en garde à vue puis en détention provisoire, a appris France 3 Champagne-Ardenne ce vendredi 6 septembre. Il est soupçonné notamment d’agression sexuelle. L’Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie.
Un jeune policier a été interpellé mercredi après le vol d’un vélo commis voici deux semaines dans l’enceinte même du commissariat de la ville préfecture. Le suspect était toujours en garde à vue jeudi midi.
Le poste de police de Bollène et la mairie sont secoués par des soupçons de fraude. Les investigations sont menées par le parquet de Carpentras et la brigade de recherches de la compagnie d’Orange. Une enquête est en cours pour établir un présumé système de détournement de fonds publics entre les services de la mairie et la police municipale.
Au terme d’une procédure chaotique, l’ex-patron de la DGSE Bernard Bajolet devrait être renvoyé devant le tribunal correctionnel pour l’intimidation d’un homme d’affaires auquel le service de renseignement réclamait 15 millions d’euros. Une première judiciaire susceptible d’avoir des répercussions sur les opérations des agents.
Ce gardien de la paix de 38 ans, affecté au commissariat du Kremlin-Bicêtre dans le Val-de-Marne, est soupçonné d’avoir escroqué ses ex-petites amies. Après avoir emprunté de l’argent à des collègues, il a disparu des radars depuis dix mois.
Sur le fond, le ministre de l’Intérieur s’est fondé sur le fait que le policier avait « entretenu des relations sexuelles » avec cette femme vulnérable après avoir « procédé le mois précédent à l’interpellation » de son conjoint « en situation irrégulière sur le territoire ».
Un agent pénitentiaire de la maison d’arrêt de Nancy a été mis en examen et placé en détention provisoire ce mercredi 26 juin 2024. Il lui est reproché divers trafics (téléphones, stupéfiants…) avec plusieurs détenus, contre rémunération.
Les enquêteurs ont dénombré 171 réquisitions pour elle, 210 pour lui, soit près de 400 fausses attestations pour une facture de près de 100 000 euros, versés comme frais de justice par la cour d’appel de Paris.
Ce jour-là, un jeune de 18 ans comparaissait parce qu’il lui était reproché d’avoir frappé un fonctionnaire du commissariat lors d’un contrôle d’identité survenu sur la place des Martyrs-de-la-Résistance. La victime s’était vue délivrer trente jours d’interruption totale de travail (ITT), ce qui avait fait bondir Me Florence Mendez, alors conseil de la défense, qui avait croisé le policier blessé le lendemain des faits, lors d’un défèrement. Policier qui était même venu lui parler. « C’est se foutre de la gueule des avocats ! », avait alors balancé l’avocate.
Un gendarme de Maine-et-Loire est visé par une enquête judiciaire après la disparition d’une mitrailleuse stockée en mairie de Rochefort-sur-Loire, près d’Angers.
Ils ont reçu 200 euros pour escorter une star américaine, revendu des vêtements saisis ou consulté des fichiers pour « rendre service » : trois policiers et un gendarme étaient jugés à Bobigny, jeudi 6 juin, dans des affaires distinctes mettant en cause leur probité.
Un policier de Saumur (Maine-et-Loire) impliqué dans un dossier de proxénétisme a été placé sous contrôle judiciaire mercredi 5 juin 2024 au tribunal correctionnel de Saumur.
L’homme qui a farouchement nié son implication dans les faits reprochés avait été mis en examen en 2019 pour avoir volé de l’argent à des personnes gardées à vue à l’hôtel de police et pour l’avoir remplacé par de la fausse monnaie. Il était aussi suspecté d’avoir volé une montre Rolex à un homme placé en garde à vue après une conduite en état d’alcoolémie. Le trentenaire avait aussi été mis en examen pour association de malfaiteurs et consultation illégale de fichiers, en l’occurrence celui des personnes sous contrôle judiciaire.
Le commandant de la CRS 4 « fait l’objet d’une convocation devant le tribunal correctionnel de Meaux le 4 décembre prochain pour des faits de détournement de fonds publics pour un montant total de 33 000 € », annonce à AEF info le procureur de Meaux (Seine-et-Marne), lundi 3 juin 2024.
Il comparaissait, jeudi 30 mai, devant le tribunal correctionnel de Nîmes pour une série d’infractions datant de 2019, notamment trois vols dans les geôles du commissariat de Nîmes sur des gardés à vue. Il a aussi été sanctionné pour un accès frauduleux à des données permettant de « trafiquer » le contrôle judiciaire d’un de ses amis.
Le tribunal correctionnel de Bobigny a condamné un ancien policier à quatre ans de prison dont deux avec sursis pour avoir séquestré une femme et effectué une fausse perquisition à son domicile au Raincy (Seine-Saint-Denis) en 2015.
Dix victimes sont sur le banc des parties civiles. Nicolas Trache comparaît pour abus de confiance envers ces personnes, commis du 30 janvier 2018 au 30 janvier 2024… Ce gendarme d’une trentaine d’années était jugé pour avoir emprunté des sommes d’argent à ses collègues et à d’autres connaissances, à Estrées-Saint-Denis. Il s’agissait pour lui de financer son addiction aux jeux, notamment les paris sportifs. Ce qui s’apparente à une escroquerie.
Le référent arme est dans le collimateur depuis que le parquet national antiterroriste a vu apparaître son nom au détour d’une procédure. A-t-il fourni une arme intéressant un homme ayant le profil d’un terroriste prêt à passer à l’action ?
Il est jugé à partir du lundi 13 mai jusqu’au 20 juin aux côtés de 12 autres personnes et deux entreprises par le tribunal correctionnel de Paris pour une longue liste d’infractions, dont corruption active ou passive, abus d’autorité, prise illégale d’intérêt, abus de bien sociaux ou encore recel d’abus de biens sociaux. (…)
Dans le viseur de l’opérateur : un extrait vidéo où l’on peut apercevoir deux policiers municipaux approcher d’un homme éméché, puis lui asséner des coups. Soudainement, la caméra de surveillance change d’angle de vue et filme une autre partie de la rue. Puis tout aussi soudainement, elle se replace dans l’angle initial. Entre-temps, les agents et l’homme sont sortis du champ.
Les faits se seraient déroulés entre l’été 2023 et mars 2024 : des antidépresseurs et des somnifères auraient été administrés à l’insu des collègues, deux femmes, lors de repas pris ensemble.
Le policier avait été mis en examen en 2020 pour trafic de stupéfiants, corruption, détournement de données de fichiers, détournement de scellés, violation du secret de l’enquête et de l’instruction et divulgation d’informations portant sur une enquête.
La justice s’intéresse aux agissements de membres de ce service de police d’élite chargé de la lutte antistupéfiants dans la cité phocéenne. Au centre de l’enquête, ouverte notamment pour vol aggravé et corruption, et menée par l’IGPN, la possible disparition d’une importante somme en liquide.
Le parquet a requis jeudi quatre ans de prison dont deux années et demie de sursis contre un ancien policier et un an ferme à l’encontre d’un complice jeudi au procès à Bobigny de la séquestration et du vol d’une femme en 2015. En mars 2015, la jeune femme de 19 ans se fait arrêter par une voiture de police banalisée qui la suit. Trois hommes se présentant comme policiers, brassards aux bras, l’interpellent et l’amènent pour une fausse perquisition de son domicile au Raincy (Seine-Saint-Denis).
Un policier a été interpellé et placé en garde à vue le mardi 26 mars dernier pour corruption passive et trafic de stupéfiants au centre de rétention administrative (CRA) de Vincennes, près de Paris, a appris franceinfo auprès d’une source proche de l’enquête.
Un ancien gendarme de Canet a été condamné ce mardi 2 avril 2024 par le tribunal correctionnel de Perpignan à un an de prison ferme pour faux et usage de faux, mais aussi trafic de drogues de synthèse et de cocaïne entre 2022 et 2023.
250 armes dont un pistolet-mitrailleur de 9 mm, une dizaine d’obus et de grenades, 24 kilos de poudre noire et plus d’une tonne de munitions avaient été découverts par hasard, dans le cadre d’une perquisition de son domicile pour une affaire de prostitution de mineur au sujet de laquelle l’instruction est toujours en cours.
Trois surveillants de la prison de Réau ont été placés en détention provisoire ce mardi, après la mise en examen de six autres pour une affaire de trafic. La semaine dernière, le procureur de Melun Jean-Michel Bourlès avait annoncé le placement en garde à vue puis la mise en examen de six surveillants de Réau dans le cadre de l’information judiciaire ouverte pour trafic de stupéfiants, remise illicite d’objets en détention, blanchiment et corruption et association de malfaiteurs.
Prévenu de « corruption passive », le chef de la police comparaissait lundi 11 mars devant le tribunal de Béziers, aux côtés d’une ancienne collègue, toujours policière municipale dans un village du Biterrois et du compagnon de celle-ci.
Re-problème : selon la police de Lens, en charge de l’enquête, le policier municipal aurait maintenu sa plainte pour le vol de son équipement et de ses clés, avant de se rétracter. Il aurait aussi accusé à tort les deux jeunes d’avoir crevé les pneus de la voiture. C’est pour cette raison qu’il s’est retrouvé à son tour impliqué et a écopé d’une peine de quatre mois de prison avec sursis lors d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité.
Aux enquêteurs, la commerçante indiquera que la prévenue avait su gagner sa confiance en se présentant au volant d’une voiture allemande de sport, en se prévalant de sa qualité de gendarme et en montrant une photo d’une célèbre animateur de télévision lui remettant un chèque d’un montant conséquent.