12/12/2025

Extraits

Des agents de la police municipale à moto (GIR) ont aperçu le point fixe et se sont arrêtés pour le filmer, avant d’arracher les pancartes. Seulement quelques minutes plus tard, 11 agents supplémentaires, dont certains issus de la police nationale et de la BAC, viennent en renfort. Ils encerclent les militants du collectif, retirent les photos exposées sur le point fixe, contrôlent plusieurs militants et prennent en photo leurs pièces d’identité. La raison ? « Le problème, c’est que vous êtes contre nous » explique un policier, comme le rapporte le collectif. Les militants sont explicitement menacés : « on se revoit pour la perquisition chez vous », ainsi qu’un journaliste présent sur place : « si tu prends mes collègues en photo, j’éclate ton appareil par terre ».

 

Mots clés

02/12/2025

Extraits

Première à témoigner, elle retrace, tremblante, « plus de vingt ans de contrôle permanent » exercé par son ancien conjoint sur elle et ses filles. Insultes, dénigrement, installation de caméra pour la surveiller… À la barre, elle décrit une vie d’isolement et de peur. « Je ne pouvais ni finir tard ni sortir boire un verre avec mes collègues », raconte-t-elle.

(…) Parmi ses souvenirs abîmés, elle se rappelle du regard furieux de son patriarche et de ses mots : « J’ai vu une pute dans la rue, je me suis rendu compte que c’était ma fille. » Elle raconte le déferlement de « coups de poing au visage, sur les bras et sur les cuisses », qu’elle aurait subi juste après.

(…) De son côté, le prévenu nie tout en bloc en balbutiant, se disant « choqué » de ses accusations « fausses » et « complètement inventées ».

(…) « Il nous a dit : “Je vais vous tuer“ », rapporte-t-elle, tremblante, au tribunal. Elle ajoute : « Je nous ai vues mourir ce jour-là. » Léa n’a pas oublié non plus. De son côté, Saïd E. assure que cet épisode « n’a pas eu lieu ».

Mots clés
COURSE-POURSUITE ENTRE NÎMES ET ARLES : « UN POLICIER MUNICIPAL S’ACHARNE CONTRE MOI », EXPLIQUE LE CHAUFFARD DEVANT LE TRIBUNAL

Midi Libre


Article de presse réservé aux abonné-e-s

Extrait

« Il s’acharne contre moi ». Le prévenu est formel. S’il reconnaît avoir pris la fuite lors d’un contrôle de police à Nîmes, il s’explique du fait qu’il a eu peur. « Il y a un policier municipal qui est contre moi. Il m’a mis entre 25 000 et 30 000 euros d’amende. Et quand il m’a interpellé, il m’a dit : « Je t’ai dit que j’allais te choper » » , explique le prévenu ce mercredi 2 avril, devant le tribunal judiciaire où il est présenté en comparution immédiate.

Mots clés
POLICIERS QUALIFIÉS DE « COW-BOYS » : L’ÉLUE DE LA COURNEUVE S’ACQUITTERA D’UNE CONTRIBUTION CITOYENNE DE 700 EUROS

Le Parisien


Article de presse gratuit disponible

Extrait

Elle était intervenue au côté du député de la circonscription Aly Diouara (LFI) après avoir constaté, de loin, le comportement — selon elle virulent — des fonctionnaires de police, qui contrôlaient les téléphones portables de deux jeunes habitants de la cité Karl-Marx. Au lendemain des faits, l’un d’entre eux confiait être toujours « secoué » et assurait avoir été menacé.

(suite…)
TASER, COUPS DE POING… SURSIS REQUIS CONTRE DES POLICIERS APRÈS UN CONTRÔLE QUI TOURNE MAL À CORMEILLES-EN-PARISIS

Le Parisien


Article de presse réservé aux abonné-e-s

Extrait

Cinq fonctionnaires d’Argenteuil sont soupçonnés d’avoir violenté un jeune. Sur son téléphone, ce dernier était en possession d’une photo d’un de leurs collègues… en bas résilles.

Mots clés
SEINE-SAINT-DENIS : LE PROCÈS DE DEUX POLICIERS DE LA BRAV-M JUGÉS POUR DES MENACES ET DES VIOLENCES RENVOYÉ


Article de presse gratuit disponible

Extrait

Au tribunal judiciaire de Bobigny (Seine-Saint-Denis), la présidente de la 14e chambre s’étonne de l’absence des prévenus.