26/11/2025

Extraits

Plus qu’une bavure, selon l’hebdomadaire, des agents auraient menti sur le déroulé des faits.

(…) Car l’homme qui était la raison de leur présence, bien qu’armé d’un couteau, n’a pas menacé les policiers comme l’avaient pourtant expliqué les agents.

(…) Deux jours plus tard, et toujours selon le Canard Enchaîné, les policiers changent de thèse et évoquent désormais un usage de l’arme à feu pour sauver la vie du suspect qui voulait manifestement en finir tout en reprochant à l’homme victime du premier tir « son imprudence ». À noter que ce dernier a porté plainte contre le tireur.

Mots clés

26/11/2025

Extraits

Ce matin-là, un huissier débarque chez un homme de 60 ans pour saisir son véhicule, accompagné des forces de l’ordre. Visiblement en détresse, ce père de famille s’asperge d’essence. Pour autant, il ne représente aucun danger, il n’est pas armé, il n’a «même pas de briquet», selon sa fille et son épouse présentes au moment des faits. Une version confirmée par l’huissier, qui a même expliqué à la justice que cet homme n’était «ni virulent ni menaçant». Aucune raison de le viser.

Pourtant, la policière tire au Taser, ce qui enflamme l’essence. La victime se consume dans d’atroces souffrances, et mourra plusieurs jours après à l’hôpital. Devant les enquêteurs, la policière prétend qu’elle s’est protégée et même qu’elle voulait empêcher l’immolation, alors que c’est justement elle qui l’a déclenchée. L’enquête démontre qu’elle a menti. Il faudra cinq ans pour que la tireuse soit jugée : elle a été condamnée le 20 novembre. Le procureur lui-même déclare : «par principe, je fais confiance aux policiers, mais dans ce dossier, il y a une reconstruction des faits». Pour cette affaire horrible et accablante, la policière qui n’a montré aucun remord n’a reçu qu’un an de sursis.

Mots clés

26/11/2025

Extraits

Après un tir de grenade assourdissante, plusieurs personnes ont été légèrement blessées.

Mots clés

26/11/2025

Extraits

Le centre pénitentiaire de Rennes-Vezin (Ille-et-Vilaine) connaît une série de décès sans précédent. Quatorze détenus sont morts dans l’enceinte de la prison depuis janvier 2025. Des suicides, pour la plupart, révélant un malaise structurel dans cet établissement.

Mots clés