Interpellations brutales, gardes à vue interminables… 17 personnes ont été arrêtées le 8 avril dans le cadre d’une action contre Lafarge en 2023, avec les moyens « disproportionnés » de l’antiterrorisme. Elles racontent.
Un incendie s’est déclaré dans la cellule d’un détenu à la maison d’arrêt de Pau (Pyrénées-Atlantiques) lundi 15 avril 2024. Le jeune homme de 25 ans, qui était seul dans sa cellule, n’a pas survécu.
Les faits se seraient déroulés entre l’été 2023 et mars 2024 : des antidépresseurs et des somnifères auraient été administrés à l’insu des collègues, deux femmes, lors de repas pris ensemble.
Après un passage par l’Armée de l’Air, Shauna M. est aujourd’hui chargée de communication pour la Garde Nationale. Elle est surtout l’une des militantes du collectif Némésis et fréquente des néofascistes aux évènements d’Academia Christiana.
Dans le détail, ce texte prévoit de durcir les sanctions déjà prévues par l’article 227-17 du Code pénal. Ainsi, la peine déjà effective de 2 ans de prison et 30 000 euros d’amende pour les parents dont les enfants mineurs auraient commis plusieurs crimes ou délits pourrait être renforcée. En effet, si le texte est voté en l’état, cette peine pourrait alors passer à 3 ans de prison et 45 000 euros d’amende. De plus, une peine complémentaire de travail d’intérêt général pour le parent défaillant est aussi présente dans le texte.
Jugée ce mardi 16 avril à Niort, l’affaire a été dépaysée en raison de la qualité du prévenu, un militaire de la gendarmerie âgé de 53 ans. Le quinquagénaire nie être un conjoint violent. Et se dit victime d’une relation hautement toxique.
Jugés tous les deux pour des violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique avec usage d’une arme à feu, l’un, Lionel M., 37 ans, a été condamné à un an de prison avec sursis et à une interdiction pendant cinq ans de détenir une arme, l’autre, Eric A., 55 ans, a été relaxé.