07/10/2025
Extraits
la préfecture de l’Hérault a mis en place un dispositif pour empêcher toute manifestation pro-palestinienne non déclarée.
07/10/2025
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la préfecture de l’Hérault a mis en place un dispositif pour empêcher toute manifestation pro-palestinienne non déclarée.
02/10/2025
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Elles ont été ramenées à l’hôtel de police pour être placées en garde à vue.
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Cette action symbolique a déclenché un véritable délire répressif, avec l’envoi de brigades d’intervention et d’échelles pour déloger les grimpeurs et grimpeuses, entourées de hordes d’agents provocants.
Les policiers ont manqué de faire tomber des personnes qui étaient montées sur la statue, et ont fait des arrestations. En parallèle, des charges à coup de matraque et de gaz lacrymogène ont eu lieu pour vider la place. Des violences policières gratuites se sont poursuivie dans une foule composée en partie de touristes et de passant-es. Un homme a reçu des coups de poing de la part d’un policier, avant que son supérieur ne lui dise de faire attention, car «il y a des caméras».
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Le jeudi 6 juin, une cinquantaine de lycéennes et lycéens ont été placés en garde à vue pendant 24 heures et sont actuellement poursuivis. Ce jour-là, à 18 heures, un déploiement disproportionnel de forces de police, incluant des compagnies de maintien de l’ordre destinées à lutter contre le grand banditisme et le terrorisme, est intervenu armé dans le lycée Hélène Boucher, exerçant des violences : gazages, gifles, menottage, coups, humiliation, insultes sexistes, homophobes, transphobes et racistes.
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Un communiqué les explicitant a été envoyé au président Eric Berton qui nous a simplement répondu le lendemain que sa mission était de « garantir un vivre-ensemble apaisé ». Sa réelle réponse est arrivée sur le coup de 19 heures, soit moins de 24 heures après le début de l’occupation pacifique en faisant intervenir une soixantaine de CRS, policiers, agents de la bac, renseignements généraux pour évacuer les étudiant-es !