18/11/2025

Extraits

Dans un rapport administratif révélé par Médiapart ce dimanche. Christophe M., affirme avoir été mis sous pression par le syndicat de police Alliance afin de ne pas révéler l’identité des collègues ayant violenté Angelina. Pour rappel, le 8 décembre 2018, Angelina passe à proximité d’une manifestation de Gilets Jaunes à Marseille en rentrant du travail. Elle reçoit un tir de LBD puis est rouée de coups de pied et de coups de matraques par des policiers.

(…) Ces violences lui causeront une fracture du crâne, des contusions au cerveau et toujours de multiples complications sept ans après les faits.

(…) Les révélations de Christophe M. agissent comme un séisme. En effet, le policier passé aux aveux met aussi en cause sa hiérarchie : ses supérieurs ont tenté de dissimuler l’affaire, d’après lui. Avant son audition à l’IGPN, il raconte notamment avoir été convoqué par le numéro trois du service dans le bureau du syndicat Alliance. Selon Médiapart, le délégué départemental du syndicat majoritaire, qui était alors Rudy Manna, dit à Christophe M. : « de ne pas donner une version contradictoire à celle du capitaine », ni à celle de son collègue.

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LES CRS QUI AVAIENT FRAPPÉ DES « GILETS JAUNES » DANS UN BURGER KING BIENTÔT JUGÉS : « UNE INTERVENTION PAS LÉGITIME »


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En décembre 2018, des CRS avaient frappé plusieurs personnes venues se réfugier dans un Burger King, alors que la manifestation des « Gilets jaunes » dans la capitale tournait à l’affrontement. Neuf CRS seront jugés et encourent plusieurs années de prison.

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« GILETS JAUNES » : LE POLICIER SOUPÇONNÉ D’AVOIR ÉBORGNÉ JÉRÔME RODRIGUES SERA JUGÉ DEVANT UNE COUR CRIMINELLE

France Bleu


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Dans ce dossier, Brice C. ainsi qu’un autre fonctionnaire de police, Baptiste R., avaient été mis en examen en janvier 2021 à Paris respectivement pour la mutilation de Jérôme Rodrigues et la blessure à la jambe par un tir de lanceur de balles de défense (LBD) d’un de ses amis, place de la Bastille lors de l’acte 11 des « gilets jaunes », le 26 janvier 2019. Pour ce second policier, un procès est requis pour « violences volontaires aggravées n’ayant pas entraîné une ITT supérieure à huit jours », un délit.

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MAIN ARRACHÉE D’UN GILET JAUNE EN 2018 : UN MAJOR CRS RENVOYÉ EN PROCÈS

Libératon


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Le parquet de Paris avait requis un non-lieu dans ce dossier. Mais le magistrat instructeur a estimé que si le policier, désormais âgé de 53 ans, n’était certes pas «animé par une volonté» de blesser Gabriel Pontonnier, il n’avait pas pris les précautions nécessaires avant de tirer. Selon lui, le mis en cause a lancé sa grenade «en direction d’un groupe d’individus» malgré «d’importantes quantités de fumées» et «l’obscurité» qui l’empêchaient de voir correctement.

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UN POLICIER RESPONSABLE DE L’ÉBORGNEMENT D’UN « GILET JAUNE » EN 2019 RENVOYÉ DEVANT LA JUSTICE


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Près de cinq ans après les faits, une juge d’instruction parisienne a décidé de renvoyer un membre d’une compagnie républicaine de sécurité (CRS) devant la cour criminelle départementale de Paris. Le gardien de la paix T. est accusé d’avoir éborgné un manifestant, Manuel Coisne, 46 ans aujourd’hui, par un tir de lance-grenades Cougar non réglementaire car réalisé trop bas. Les faits ont eu lieu le 16 novembre 2019 place d’Italie, dans le 13e arrondissement de Paris, à l’occasion du premier anniversaire du mouvement des « gilets jaunes ».

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GILETS JAUNES MATRAQUÉS PAR DES CRS DANS UN BURGER KING À PARIS EN 2018 : LES POLICIERS VONT ÊTRE JUGÉS


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Extrait

Six ans après les faits, la justice a décidé de renvoyer neuf CRS devant un tribunal pour avoir matraqué des Gilets jaunes dans un restaurant Burger King à Paris en décembre 2018. Ils sont poursuivis pour violences volontaires aggravées.

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GILETS JAUNES : 6 ANS APRÈS, NEUF CRS FACE À LA JUSTICE ?

Le Media TV


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Jeudi 1er août, neuf CRS ont été renvoyés en correctionnel par le Parquet de Paris. Ils ont été mis en cause pour des violences policières survenus en décembre 2018, en plein mouvement des Gilets Jaunes, pour avoir frappé des manifestants qui s’étaient réfugiés dans un Burger King, près des Champs-Elysées.

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GILETS JAUNES MATRAQUES DANS UN BURGER KING : LES AVOCATS ACCUSENT LE PARQUET DE « PROTÉGER LES POLICIERS »

Le Parisien


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Neuf CRS sont mis en examen pour violences volontaires. L’instruction est terminée et l’avis du parquet attendu depuis un an.

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MAIN D’UN « GILET JAUNE » ARRACHÉE À PARIS : LE PARQUET DEMANDE UN NON-LIEU POUR UN MAJOR DE CRS

SUD OUEST


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Le major Jackie D., 53 ans, officiant dans la CRS 7, a été mis en examen en février 2022. Il lui était reproché d’avoir involontairement blessé plusieurs manifestants mais aussi de les avoir mis en danger en lançant une grenade lacrymogène GLI-F4, une arme dite intermédiaire régulièrement accusée de causer des mutilations et interdite depuis 2020.

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ACHARNEMENT JUDICIAIRE CONTRE UNE GILET JAUNE MUTILÉE : 6 ANS PLUS TARD, L’ÉTAT REFUSE D’INDEMNISER VANESSA

Contre Attaque


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Près de 6 ans après les faits, aucune date de procès, ni certitude de poursuite de la procédure n’est garantie. On le sait, l’État est prêt à tout pour protéger ses chiens de garde. Il ne s’agit pas d’une bavure, mais bien d’une stratégie de terreur à grande échelle contre toutes celles et ceux qui remettent en question l’ordre établi et dénonce la violence étatique.

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LA VRAIE VIE DE VANESSA, GILET JAUNE MUTILÉE PAR UN TIR DE LBD


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Pendant le mouvement des Gilets jaunes en 2018, Vanessa est victime d’un tir de LBD. Elle perd la vue de son œil gauche. Six ans plus tard, elle raconte à StreetPress les séquelles physiques et psychologiques qu’elle a gardées.

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AFFAIRE GENEVIÈVE LEGAY : LE COMMISSAIRE ÉCOPE DE SIX MOIS DE PRISON AVEC SURSIS


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Le tribunal correctionnel de Lyon a rendu son verdict ce vendredi 8 mars dans l’affaire de la charge policière ayant gravement blessé la retraitée et militante d’Attac, en 2019. Le commissaire Souchi, condamné, fait appel.

VIOLENCES POLICIÈRES : UN POLICIER A ÉTÉ RELAXÉ EN APPEL, APRÈS AVOIR PORTÉ UN COUP DE MATRAQUE À UN « GILET JAUNE » À BESANÇON

Le Monde


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En première instance, le tribunal correctionnel de Besançon avait condamné le policier à 1 000 euros d’amende avec sursis et 500 euros au titre du préjudice moral, pour « violences volontaires avec arme par dépositaire de l’autorité publique ».