12/12/2025
Extraits
Des agents de la police municipale à moto (GIR) ont aperçu le point fixe et se sont arrêtés pour le filmer, avant d’arracher les pancartes. Seulement quelques minutes plus tard, 11 agents supplémentaires, dont certains issus de la police nationale et de la BAC, viennent en renfort. Ils encerclent les militants du collectif, retirent les photos exposées sur le point fixe, contrôlent plusieurs militants et prennent en photo leurs pièces d’identité. La raison ? « Le problème, c’est que vous êtes contre nous » explique un policier, comme le rapporte le collectif. Les militants sont explicitement menacés : « on se revoit pour la perquisition chez vous », ainsi qu’un journaliste présent sur place : « si tu prends mes collègues en photo, j’éclate ton appareil par terre ».




