Un policier de la CRS 23 était soupçonné de harcèlement, violence et menaces de mort sur une autre policière avec qui il avait eu une liaison. (…) L’homme a finalement été relaxé de l’intégralité des faits qui lui étaient reprochés.
Malgré les accusations de harcèlement envers une de ses collègues, un policier de la CRS 23 de Charleville-Mézières (Ardennes) a été jugé ce lundi 3 juin, puis relaxé par le tribunal.
L’une des militantes étant actuellement à l’étranger, ce sont finalement 10 opposants à l’autoroute A69 qui ont passé une bonne partie de la journée en garde à vue avant de ressortir aux alentours de 17h, sans que des poursuites judiciaires soient engagées à leur encontre. Ce qui fait dire au collectif La Voie est Libre, que « ces convocations étaient vraiment sans fondement ».
Le gradé de la gendarmerie a bien été reconnu coupable d’avoir détourné des données de la gendarmerie à des fins personnelles et d’avoir abusé de la vulnérabilité de onze femmes qui s’étaient rendues en gendarmerie dans le cadre d’un dépôt de plainte ou d’une garde à vue.
Ce jour-là, les fonctionnaires de la brigade territoriale de contact (BTC) interpellaient Mamby K. à la suite d’une rixe un soir de match de foot. « Leurs agissements contribuent à ternir l’image de la police nationale », a fustigé le ministère public lors de l’audience qui s’est tenue fin mars au tribunal de Bobigny.