Dans cette affaire, l’homme a été partiellement relaxé « faute d’élément », précise la magistrate. Il est finalement reconnu coupable pour voyeurisme, le 12 avril 2024.
(…) Pendant le procès, son avocate avait mis en lumière l’altération du discernement retenu par l’expert judiciaire, qu’elle avait mis en lien avec sa situation conjugale de l’époque. « Il n’était pas animé par des pulsions pédophiles », insiste-t-elle.
Après quinze ans de combat judiciaire et une relaxe en première instance, quatre hommes qui s’étaient déclarés victimes d’agressions sexuelles de leur ex-chef scout, commandant de police, ont enfin été entendus par un parquet qui a requis cinq ans de prison dont quatre avec sursis.
Un policier à la retraite a été condamné par le tribunal de Nancy à un an de prison avec sursis pour avoir téléchargé 8 400 images pédopornographiques ainsi que 77 vidéos pornos mettant en scène des enfants ou des ados. L’ex-flic a expliqué avoir agi « par curiosité malsaine ».
Un gendarme mobile, affecté à la caserne Dutertre de Joué-lès-Tours, est poursuivi pour « voyeurisme », après avoir pris des photos de sa belle-fille de 11 ans sous la douche. Le père de famille a été suspendu par sa hiérarchie.