15/08/2025
Lors du trajet vers le commissariat, Illa a subi des remarques sexistes et a ressenti une peur intense.
15/08/2025
Lors du trajet vers le commissariat, Illa a subi des remarques sexistes et a ressenti une peur intense.
Article de presse gratuit disponible
Extraits
Deux étudiantes néerlandaises qui sortent de boîte de nuit filment une interpellation. Les fonctionnaires n’apprécient pas et l’affaire dégénère. Les deux jeunes femmes accusées de violences passaient au tribunal ce vendredi 31 janvier.
(…) « Je criais, les yeux fermés, mes mains étaient menottées, je ne me rappelle que de ça. C’était traumatisant. » (suite…)
Article de presse gratuit disponible
Extrait
D’après le ministère public, trois de ces fonctionnaires, Jean-Michel G., Guillaume B. et Marc B., seront jugés pour avoir « porté des gifles et coups de pieds et de poing » sur Ali H. Soit des violences volontaires par une personne dépositaire de l’autorité publique, dans l’exercice de ses fonctions et en réunion, ayant entraîné une incapacité totale de travail supérieure à huit jours, en l’espèce quatre jours. Un quatrième fonctionnaire, Roys G., sera jugé pour complicité de ces faits.
Article de presse gratuit disponible
Extrait
Il était 6 heures du matin vendredi dernier, quand la porte de l’appartement d’une femme est forcée tout à coup par la police nationale. Des policiers débarquent pour procéder à une interpellation. En sous-vêtements dans son salon, la femme est menottée dans l’incompréhension la plus totale.
Les policiers réalisent après coup qu’ils se sont trompés de logement. Mais pendant ce laps de temps, la victime a été laissée en culotte au milieu de tous ces hommes. Elle a vécu cela comme une violation.
Article de presse réservé aux abonné-e-s
Extrait
La vidéo produite par l’avocat d’un Noyellois jugé pour rébellion à Libercourt, fin août, ne lui a pas évité d’être condamné et d’être renvoyé en prison. Mais elle pousse le parquet à ouvrir une enquête sur le comportement des policiers lors de l’interpellation.
Article de presse réservé aux abonné-e-s
Extrait
La cour d’appel de Paris a confirmé, mardi 10 septembre, que le policier mis en examen pour des violences sur un adolescent de 14 ans lors de son interpellation, en 2020 à Bondy, ne serait pas jugé. L’avocat du jeune homme s’est pourvu en cassation.
Article de presse gratuit disponible
Extrait
Un non-lieu a été prononcé pour le policier mis en cause dans l’enquête sur l’interpellation violente de Gabriel, un adolescent de 14 ans gravement blessé à l’oeil à Bondy (Seine-Saint-Denis) en 2020, a-t-on appris vendredi auprès du parquet de Bobigny.