« Ils se sont moqués de moi, m’ont fait une clé de bras et m’ont même déchiré mon manteau. » À la barre, la prévenue, Natacha, confirme avoir subi des violences de la part de trois gendarmes. Au final, le tribunal choisira de la condamner pour dénonciation calomnieuse.
Alors qu’il contestait les accusations depuis les plaintes déposées en 2017 par quatre de ses petits-enfants, l’ancien gendarme dijonnais a finalement reconnu les viols et les agressions sexuelles, au deuxième jour de son procès devant la cour criminelle.
Une fusillade a éclaté à 1 heure du matin ce samedi 8 février, opposant deux policiers du Raid et cinq hommes qu’ils suivaient en filature. Si les suspects ont pu prendre la fuite en voiture, l’un d’entre eux a été par la suite retrouvé mort.
La justice plus douce avec les pédocriminels qu’avec les voleurs de canettes Encore un “bon père de famille” selon la formule de Rose Lamy du compte “Préparez-vous pour la bagarre”. Olivier B., magistrat, ancien vice-président du tribunal judiciaire de Dijon, proposait sur un site internet à des hommes de violer sa fille âgée de 12 ans.
Casqués et cagoulés, les policiers de la BRI en tête du dispositif se tiennent dans le couloir sombre conduisant à son appartement, prêts à intervenir. Ils obturent le judas de sa porte et installent un vérin pour l’ouvrir d’un coup. Mais le chien présent au domicile commence à aboyer, et réveille Emmerick D. Ce dernier, torse nu, se dirige vers la porte, regarde à l’œilleton, ne voit rien. Quand il entrouvre la porte, il reçoit une balle de pistolet quasi instantanément.
Le 20 mars, après une fusillade dans le quartier des Grésilles à Dijon, les forces de l’ordre ont fouillé une résidence étudiante à la recherche d’un suspect. Le syndicat Solidaire Etudiants dénonce des « étudiants mis en joue par des armes de guerre ».
Cette intervention, perçu comme disproportionnée et injustifiée, a profondément choqué non seulement les membres du personnel, mais aussi les élèves qui ont été témoins de cet événement selon les syndicats.
Extrait Le procureur de la République de Dijon referme l’enquête concernant la noyade de Check Camara. La famille et les proches de ce jeune homme de 18 ans estiment qu’il est tombé dans l’eau en fuyant la police. La justice écarte cette hypothèse.
Extrait : Deux policiers de Dijon étaient jugés ce 12 septembre au tribunal correctionnel. Ils sont soupçonnés de violences lors d’une interpellation, et d’avoir rédigé un compte-rendu mensonger.
Extrait : Un appel à témoin lancé par la famille Toute personne ayant croisé Cheikh Camara ou ayant des informations sur les déroulé des événements sont invités à prendre contact avec la famille via cette adresse mail : gauthiermanon21@gmail.com