MEURTRE POLICIER. PARIS : UN PALESTINIEN MEURT APRÈS AVOIR ÉTÉ INTERPELLÉ ET FRAPPÉ PAR LA POLICE

Révolution Permanente


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Seuls présents avec l’homme lors de son transfert au commissariat, Théo P. et sa coéquipière prétendent s’être défendus d’un coup au visage, avant que, selon leurs dires, Tamer Miskir ne se frappe lui-même le visage contre la portière du véhicule, tout cela alors même qu’il était menotté. Après l’avoir passé à tabac, les forces de répression l’ont vraisemblablement laissé à l’agonie dans leur voiture, sans lui apporter de soins et en le conduisant d’abord au commissariat, retardant sa prise en charge à l’hôpital.

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UN POLICIER PARISIEN ENVOYAIT DES « NUDES » À DES COLLÈGUES FEMMES : IL PASSE EN PROCÈS POUR HARCÈLEMENT SEXUEL

Le Nouvel Obs


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« Trois victimes ont été identifiées dans son commissariat mais l’enquête aurait pu aller plus loin, il aurait fallu interroger ses proches, son ex-compagne, ce qui n’a pas été fait, déplore-t-il. L’IGPN avait demandé son renvoi pour agression sexuelle, ce que le parquet n’a pas requis. Par ailleurs, Sylvain M. a eu accès au dossier d’enquête administrative juste avant d’être convoqué pour sa garde à vue, ce qui normalement n’arrive jamais. Juste avant, on sait qu’il a téléchargé une application pour faire disparaître des messages. » L’avocat décrit sa cliente comme « extrêmement anxieuse » mais « combative ». Un expert lui a attribué 12 jours d’interruption temporaire de travail (ITT), relevant un « état anxio-dépressif ».

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UN POLICIER PARISIEN BIENTÔT JUGÉ POUR HARCÈLEMENT SEXUEL SUR TROIS COLLÈGUES


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Pendant plusieurs mois, le gardien de la paix Sylvain M. a envoyé des messages à caractère sexuel à trois policières de son commissariat, qui témoignent pour la première fois auprès de Mediapart. Ces faits lui ont déjà valu une sanction disciplinaire et son procès doit se tenir le 21 novembre.

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« IL A ÉTRANGLÉ MON FILS ! ». UN ENFANT DE 11 ANS PLAQUÉ VIOLEMMENT AU SOL PAR UN AGENT DE LA BAC

Révolution Permanente


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Le 2 novembre, un agent de la BAC a violemment plaqué au sol un enfant de 11 ans parce que ce dernier a ouvert le sac d’une amie pour prendre du chocolat. Un nouvel exemple de violences policières, encouragées par la mise en place d’un plan de sécurisation contre la « délinquance » à Gare du Nord à Paris.