LA PREF PÊCHE AU PÉTARD MOUILLÉ – 64 ARRÊTÉES, UN CAMARADE INCARCÉRÉ POUR L’EXEMPLE !


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Samedi 5 Octobre, suite à l’appel au rassemblement de l’Assemblée Antifascite Paname contre une séance de dédicace de la Maison d’édition d’extrême-droite « Magnus » (publiant notamment Marguerite Stern, Papacito et autres influenceurs à la carrière échouée), une manifestation s’élance alors spontanément dans le Ve arrondissement dans l’optique d’aller perturber sa bonne tenue.

64 camarades seront alors interpellées, choisissant pour beaucoup de rester ensemble en cas d’arrestation. Cette stratégie permet en effet d’embourber la machine judiciaire et d’empêcher de rester isolées face aux arrestations.Un « Coup de filet dans la mouvance Antifasciste » titre la presse, à propos de ce qui s’avère être une farce de la préfécture et une nouvelle débâcle judiciaire.

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64 PERSONNES VENUES PROTESTER CONTRE UN ÉVÉNEMENT ORGANISÉ PAR UN ÉDITEUR D’EXTRÊME DROITE PLACÉES EN GARDE À VUE


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La procédure est d’autant plus violente pour les gardés à vue, que « du stade de l’interpellation jusqu’au sein des commissariats, toute cette procédure a autorisé des propos transphobes. Et les policiers s’en sont donné à cœur joie », raconte Hanna Rajbenbach, avocate de la Coordination contre la répression et les violences policières. Une dizaine de comportements discriminatoires – mégenrage, blagues humiliantes, refus d’accès aux traitements, palpations appuyées – ont été rapportés à l’avocate. « Les policiers se faisaient un malin plaisir de m’appeler Monsieur », rapporte Aurélie (1).

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RÉPRESSION ET VIOLENCES POLICIÈRES AU LYCÉE HÉLÈNE BOUCHER, PARIS 20E. RASSEMBLEMENT MARDI 11 JUIN

Paris Luttes Info


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Le jeudi 6 juin, une cinquantaine de lycéennes et lycéens ont été placés en garde à vue pendant 24 heures et sont actuellement poursuivis. Ce jour-là, à 18 heures, un déploiement disproportionnel de forces de police, incluant des compagnies de maintien de l’ordre destinées à lutter contre le grand banditisme et le terrorisme, est intervenu armé dans le lycée Hélène Boucher, exerçant des violences : gazages, gifles, menottage, coups, humiliation, insultes sexistes, homophobes, transphobes et racistes.

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