AU TRIBUNAL DES VIOLENCES POLICIÈRES, « CE QUI N’EST PAS FILMÉ N’EXISTE PAS AU DOSSIER »

Streetpress


Article de presse gratuit disponible

Extrait

Mais de l’ensemble des violences dénoncées, seuls trois gestes sont poursuivis dans l’enquête, captés par les caméras de vidéosurveillance à l’intérieur du poste. Comme le rappelle la procureure à l’audience, en matière de violences policières :
« Ce qui n’est pas filmé n’existe pas au dossier. »
Et tant pis si dans son audition à l’IGPN, Aziz E., âgé de 25 ans au moment des faits, a décrit une longue litanie de coups, d’insultes et de références à sa religion de la part des fonctionnaires, depuis son interpellation jusqu’à ce qu’il accepte de déverrouiller son téléphone pour supprimer la vidéo. Les photos de ses blessures, jointes à son signalement, montrent des traces de piqûres à la jambe et aux parties génitales attribuées au taser ainsi que de nombreuses rougeurs « compatibles avec des traces de coup », selon la procureure.

Mots clés
TÉMOIGNAGE. « J’ÉTAIS SA CHOSE » : ELLE A ÉTÉ VICTIME DE VIOLENCES PAR SON EX-MARI GENDARME

ouest france


Article de presse réservé aux abonné-e-s

Extraits

« J’ai peur des représailles », plante d’emblée Nathalie (1), habitante de la Côte d’Émeraude dans les Côtes-d’Armor, avant de raconter ses années d’enfer aux côtés de son ex-mari gendarme.

Mots clés
DES POLICIERS DE LA BAC DU XVIIIE AVAIENT BIEN PLACÉ DE LA DROGUE DANS LA VOITURE D’UN SUSPECT

reflets.info


Article de presse gratuit disponible

Extrait

Dans cette affaire révélée par Camille Polloni (alors au Jours et désormais chez Mediapart), quelque six agents de le brigade anticriminalité du 18ème arrondissement sont en effet condamnés pour des faits de corruption, de trafic de stupéfiants, de violences et de procédures falsifiées.

Mots clés