Le 28 mai 2020, il avait été condamné par le tribunal correctionnel d’Évreux pour « harcèlement moral » et « détournement de traitement de données à caractère personnel ».
Malheureusement, la jeune fille va vite déchanter. Et pour cause : elle doit faire face « à l’humour graveleux » de deux agents municipaux. Allusions sexuelles appuyées, blagues « en-dessous de la ceinture… »… Émilie se sent visée par leurs plaisanteries de mauvais goût. Des « propos trash », d’après plusieurs témoignages, sur lesquels le président chargé de l’audience correctionnelle n’a pas souhaité s’éterniser. Cette situation, insoutenable pour la stagiaire, la pousse à déposer une plainte le 30 mars. Par la suite, au vu de la tournure que prenait cette affaire, elle avait même dû se mettre en arrêt maladie durant une dizaine de jours.