C’est un dispositif rare en France, pour une commune de cette taille. À Mantes-la-Jolie, une dizaine d’écoles sont désormais sous la surveillance de caméras à 360 degrés.
Les images de ces jeunes agenouillés par dizaines, mains sur la tête pour les uns, mains dans le dos et entravés pour d’autres, avaient fait le tour du monde et enflammé les esprits. Une ordonnance de non-lieu vient d’être rendue, a-t-on appris de l’AFP, par la cour d’appel de Versailles et le juge d’instruction du tribunal de Nanterre chargés de l’enquête sur les conditions d’interpellation par la police nationale de 151 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, à Mantes-la-Jolie (Yvelines), le 6 décembre 2018, en marge de manifestations lycéennes.
À compter du 1er décembre 2024, à Mantes-la-Jolie (Yvelines), « l’ivresse publique et manifeste » sera doublement sanctionnée en cas de prise en charge par la police municipale.