La LDH et l’Association des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture ont saisi le Conseil d’État au sujet du port du R.I.O. Cette requête revient sur une décision antérieure du Conseil qui enjoint l’exécutif à prendre des mesures pour garantir l’identification des policiers et gendarmes.
Le 5 novembre dernier, dans le cadre d’une procédure de plaider-coupable, un homme de 30 ans s’est vu proposer une peine de 5 mois avec sursis et 500 euros d’amende pour avoir « agressé » le député d’extrême droite Alexandre Allégret-Pilot. Il a refusé et sera jugé le 5 février. En fait d’agression, un simple jet de farine le 22 octobre, dans une ambiance bon enfant. « Il a fallu 15 gendarmes pour m’extraire de l’hystérie fasciste rouge », a tonné l’élu ciottiste du Gard. Une affirmation totalement mensongère, reprise sans vérification par les médias d’extrême droite. Entre intox, mauvaise foi, et propagande, que s’est-il réellement passé ? Blast reconstitue le déroulement des faits.
Un homme de 38 ans était jugé, mercredi 6 novembre 2024, au tribunal de La Roche-sur-Yon (Vendée). La justice reprochait à cet ancien gendarme des appels malveillants et des menaces de mort à l’encontre de son ancienne compagne. Il a été reconnu coupable.
Surpopulation, refus de soins, fouilles intégrales abusives : la défenseure des droits dresse « un constat alarmant » et alerte les pouvoirs publics sur « les atteintes aux droits graves et répétées » subies par les détenus, dans un communiqué publié ce jeudi. L’autorité administrative indépendante, chargée de veiller « au respect des droits et libertés », selon la Constitution, se dit « de plus en plus saisie » par des détenus. Ses 150 délégués présents dans les prisons françaises ont traité 7 878 dossiers en 2023.