TROIS CAMARADES ACTUELLEMENT EMPRISONNÉS À SEYSSES (TOULOUSE).

IAATA


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Extraits

Trois camarades sont actuellement emprisonnés à Seysses (Toulouse).
L’un a été condamné à 6 mois fermes, 6 mois avec sursis et 10 000 euros d’amende. Il est accusé d’avoir frappé un policier lors de l’attaque brutale du cortège de tête par la police à la monifestation du 1er Mai 2024.
Deux autres sont accusés d’avoir participé à des affrontements contre des groupes fascistes. Dans la même affaire, trois autres personnes sont soumises à des contrôles judiciaires drastiques accompagnés de fortes amendes en prévision des dommages et intérêts.

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1ER MAI À LYON : LA POLICE A-T-ELLE LE DROIT DE TABASSER LES MANIFESTANTS JUSQUE DANS LES IMMEUBLES ?

Rebellyon


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Extrait

D’après plusieurs témoignages, des manifestant-es auraient été frappé-es par des policiers à l’intérieur d’une cage d’escalier. Bilan : des hématomes aux jambes, aux fesses, sur le nez et à l’œil, trois jours d’ITT, au moins une plainte déposée. Et cette question : quel insecte a piqué l’équipe de policiers qui s’est introduite dans l’immeuble situé au n°5 pour distribuer des coups pendant plusieurs minutes – mais sans procéder à aucune interpellation ?

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MARSEILLE : DEUX POLICIERS CONDAMNÉS À LA PRISON AVEC SURSIS POUR DES VIOLENCES SUR DEUX MANIFESTANTS


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Extrait

Ce vendredi à Marseille, ce sont deux policiers qui ont été condamnés à respectivement cinq et six mois de prison avec sursis pour des violences sur deux jeunes manifestants lors de la dispersion d’un cortège en marge de la lutte contre le projet de réforme des retraites en 2023.

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« RETOURNEZ MANGER DES BANANES » : UN POLICIER D’ÎLE-DE-FRANCE JUGÉ POUR INJURES RACIALES À SAINT-MALO

actu.fr


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Extraits

Au début, ce sont les adolescents qui sont placés en garde à vue pour violences sur personne dépositaire de l’autorité publique.
La presse s’emballe, aidée par un syndicat de police plutôt très à droite. « Des sauvages les ont fracassés », titrait un certain site Internet.
(…) L’homme fait des bruits de singe :
« Retournez manger des bananes et des cacahuètes. S’ils ne sont pas dans leur cage, on ne peut pas les tenir. On quitte l’Ile-de-France pour éviter les gens comme vous et il y en a quand même ! »

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