VIOLENCES LORS D’UNE INTERPELLATION : DEUX GENDARMES ET UN POLICIER MUNICIPAL SERONT JUGÉS
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Extrait
Deux gendarmes mobiles extérieurs au département, qui armaient le poste provisoire de la station, sont renvoyés devant le tribunal correctionnel de Gap. Ils avaient été mis en examen pour des violences lors de l’interpellation. Un troisième protagoniste de l’affaire sera jugé pour “destruction de document dans le but de faire obstacle à la manifestation de la vérité”.
Il s’agit d’un ancien policier municipal de la station qui était en poste en février 2022. Il est suspecté d’avoir fait disparaître certaines images de l’interpellation captées par les caméras de vidéosurveillance. Un agent contractuel, rattaché à la police municipale, avait lui aussi été mis en examen pour des faits similaires.