FILMÉE EN TRAIN DE FRAPPER UN DÉTENU, UNE SURVEILLANTE CONDAMNÉE À HUIT MOIS DE PRISON AVEC SURSIS
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Extrait
« C’est un jugement rare », estime-t-il, qui « met en lumière la difficulté énorme pour les détenus de collecter des preuves lorsqu’ils sont victimes de violences ». En 2019, l’OIP a publié une enquête qui dénonçait les « violences physiques de la part d’agents pénitentiaires » et « l’inertie des institutions chargées d’y mettre un terme ».