« L’INSTITUTION COUVRE TOUT LE MONDE » : DES VIOLENCES POLICIÈRES SUR UN ÉTUDIANT CONFIRMÉES PAR L’IGPN, MAIS SA PLAINTE CLASSÉE ANS SUITE

LA DÉPÊCHE


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Extrait

Selon le rapport de l’IGPN, remis en septembre dernier, ses blessures ont nécessité des points de suture au visage et une intervention chirurgicale pour un hématome testiculaire, entraînant en tout 30 jours d’ITT, liés à son état physique mais aussi à un « syndrome post-traumatique ».
(…)Le rapport fait état de deux coups de matraque portés par deux policiers différents, mais souligne qu’il est impossible d’identifier ces agents sur les images de vidéosurveillance et que, parmi les effectifs de la Brigade anti-criminalité (Bac), « aucun (policier) ne se reconnaissait à la vidéo comme auteur des violences commises ».
(…)Selon l’avocat de la victime aujourd’hui âgée de 21 ans, Me Antoine Chaudey, sa plainte a ensuite été classée sans suite en octobre pour auteur inconnu, un classement qui ne lui a pas été notifié et dont il n’a eu connaissance qu’en janvier.

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À LILLE, LA POLICE ARRÊTE BRUTALEMENT UN QUINQUAGÉNAIRE ET LANCE DU GAZ LACRYMOGÈNE SUR LES TÉMOINS

Streetpress


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Examiné le lendemain par SOS médecin, Rod présente des hématomes et éraflures au niveau de l’œil droit, de la pommette et du nez, qu’il attribue aux coups reçus dans la voiture. Ses blessures lui ont valu deux jours d’ITT. Plusieurs semaines après les faits, il ne comprend toujours pas la raison du contrôle. Les agents ne lui auraient, d’ailleurs, même pas demandé ses papiers.

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À LILLE, LA POLICE UTILISE-T-ELLE LA RECONNAISANCE FACIALE DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES ?


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Depuis 2015, un système de vidéosurveillance algorithmique est utilisé par la police nationale, et une centaine de villes à travers le territoire. Son nom ? Briefcam. Un puissant logiciel qui peut, en sus, bénéficier d’une fonctionnalité de reconnaissance faciale, et qui aurait été utilisé par la municipalité de Lille.
C’est ce qu’affirme le média Mediacités, selon qui la commune nordiste utiliserait Briefcam depuis 2021. Une information qui étonne quand on se rappelle que l’édile à la tête de la commune nordiste est Martine Aubry, une femme politique à l’origine opposée à cette technologie.

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LILLE : UN POLICIER MUNICIPAL, AVEC UNE CROIX PATTÉE SUR LA MAIN, SANCTIONNÉ PAR LA VILLE


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Une croix tatouée sur une main est-elle un symbole d’extrême-droite ? C’est la question qui a agité récemment la ville de Lille et la direction de la police municipale. Et qui a conduit à la sanction d’un agent.

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SUSPICIONS DE VIOLENCES POLICIÈRES À LILLE : UNE ENQUÊTE CONFIÉE À L’IGPN

franceinfo:


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Extraits

Au moins trois personnes ont été blessées, dont une jeune femme à l’arrière de la tête. Ces trois personnes ont été hospitalisées, selon la LDH.
(…) La LDH dénonce également l’attitude des policiers à l’encontre de ces membres présents sur place en tant qu’observateurs.

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LILLE : LE POLICIER AVAIT PORTÉ PLAINTE POUR OUTRAGE, IL EST CONDAMNÉ POUR VIOLENCE

LA VOIX DU NORD


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Extrait

Ils ont chacun porté plainte contre l’autre. Geoffrey T., 40 ans, agent de police, accuse Tom C, 22 ans, de l’avoir insulté dans l’exercice de ses fonctions. Mais Tom C, reproche de son côté à Geoffrey T. de l’avoir violenté. Le tribunal de Lille a tranché mardi.

LILLE : UNE POLICIÈRE CONDAMNÉE POUR UN USAGE DISPROPORTIONNÉ DE SA BOMBE LACRYMOGÈNE

La Voix du Nord


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Extrait : Le 30 août, deux policiers étaient jugés pour avoir produit un faux rapport de police qui devait justifier une arrestation musclée le 29 janvier dans le centre de Lille. Ils ont été relaxés pour cet écrit mais la policière a été condamnée pour violences. Elle avait aspergé de gaz un homme qui n’était pas menaçant.