FEMME TRANSGENRE EN PRISON POUR HOMMES : L’ISOLEMENT DE LOUNA RELANCE LA POLÉMIQUE SUR LA « TRANSPHOBIE INSTITUTIONNELLE »


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Une militante transgenre opposée à l’autoroute A69 se retrouve au cœur d’une polémique sur les conditions de détention des personnes trans. Incarcérée depuis le 15 octobre 2024 dans la maison d’arrêt pour hommes de Tarbes (Hautes-Pyrénées) et placée à l’isolement, son cas relance les questionnements sur le traitement des détenus transgenres en France.

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LA PREF PÊCHE AU PÉTARD MOUILLÉ – 64 ARRÊTÉES, UN CAMARADE INCARCÉRÉ POUR L’EXEMPLE !


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Samedi 5 Octobre, suite à l’appel au rassemblement de l’Assemblée Antifascite Paname contre une séance de dédicace de la Maison d’édition d’extrême-droite « Magnus » (publiant notamment Marguerite Stern, Papacito et autres influenceurs à la carrière échouée), une manifestation s’élance alors spontanément dans le Ve arrondissement dans l’optique d’aller perturber sa bonne tenue.

64 camarades seront alors interpellées, choisissant pour beaucoup de rester ensemble en cas d’arrestation. Cette stratégie permet en effet d’embourber la machine judiciaire et d’empêcher de rester isolées face aux arrestations.Un « Coup de filet dans la mouvance Antifasciste » titre la presse, à propos de ce qui s’avère être une farce de la préfécture et une nouvelle débâcle judiciaire.

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MANIFESTATION ANTITRANSPHOBIE À PARIS : DES ARRESTATIONS À GOGO, L’INTOX SUR LES « ARMES » S’ÉVANOUIT À L’AUDIENCE


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Des policiers de la Brav-M ont arrêté samedi une soixantaine de militants antifascistes avant qu’ils n’arrivent sur les lieux d’une séance de dédicace organisée par une maison d’édition d’extrême droite. Hormis deux personnes déférées, tous les participants ont été relâchés sans poursuite.

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64 PERSONNES VENUES PROTESTER CONTRE UN ÉVÉNEMENT ORGANISÉ PAR UN ÉDITEUR D’EXTRÊME DROITE PLACÉES EN GARDE À VUE


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La procédure est d’autant plus violente pour les gardés à vue, que « du stade de l’interpellation jusqu’au sein des commissariats, toute cette procédure a autorisé des propos transphobes. Et les policiers s’en sont donné à cœur joie », raconte Hanna Rajbenbach, avocate de la Coordination contre la répression et les violences policières. Une dizaine de comportements discriminatoires – mégenrage, blagues humiliantes, refus d’accès aux traitements, palpations appuyées – ont été rapportés à l’avocate. « Les policiers se faisaient un malin plaisir de m’appeler Monsieur », rapporte Aurélie (1).

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ESSONNE : ENQUÊTE OUVERTE POUR VIOLENCES PAR DES SURVEILLANTES SUR UNE FEMME TRANSGENRE À LA PRISON DE FLEURY-MÉROGIS

Le Parisien


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La scène s’est déroulée après une promenade, au moment de réintégrer les cellules. Elle implique trois surveillantes qui auraient plaqué la détenue contre un mur, lui auraient tiré les cheveux, écrasé la cheville et l’auraient frappée au-dessus de l’oreille tout en lui répétant qu’elle était un homme.

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