Un autre agent des forces de l’ordre a alors tiré deux coups de feu sur l’homme, le touchant gravement. Le pronostic vital du blessé était engagé au moment de sa prise en charge médicale, indique la chaîne de télévision locale.
Comme le révèlent nos confrères du Parisien, depuis ce dimanche soir, un Réunionnais âgé de 33 ans, est actuellement hospitalisé entre la vie et la mort et dans le coma.
COMMENT LA POLICE ET LES AUTORITÉS ESSAIENT D’OCCULTER LES MEURTRES COMMIS PAR LES POLICIERS OU GENDARMES. BIEN AIDÉES EN CELA PAR LES MÉDIAS.
Un exemple parmi tant d’autres : le cas du meurtre de Samba
Le texte ci-dessous est constitué à partir d’informations recueillies dans différents journaux. La plupart de ces informations sont suivies d’une note indiquant le lien de l’article de presse où cette information se trouve. De manière à alléger un peu le texte, un certain nombre de ces informations ne sont suivies d’aucune note : dans ce cas elles proviennent de l’article de « FR3 régions » dont le lien est noté (1).
Bref rappel : Samba Dior Diagne a été abattu de 3 balles par la police le 13 mars 2024 à Wattignies (59).
Il y a ce syndicaliste policier (2) qui se précipite pour faire savoir que Samba avait perdu son travail. Sans doute doit-on comprendre que, s’il a perdu son travail, il doit être en détresse et donc suceptible du pire ?
Flagrant Déni décrypte le meurtre de Luis Bico, l’une des première victime du « permis de tuer » offert à la police. La plus haute juridiction française doit juger l’affaire ce 4 avril. Une centaine de personnes sont mortes depuis.
« Il continuait d’avancer sur les policiers dans l’appartement », a ajouté une source proche du dossier, qui indique que deux policiers ont tiré pour un total de cinq tirs, dont trois ont atteint l’homme.