AFFAIRE HEDI À MARSEILLE : UN RAPPORT DE L’IGPN MET EN CAUSE LA COMMANDANTE DE POLICE

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Si elle n’a pas porté des coups, la policière présente sur place, n’a pas cherché à les empêcher ou à les arrêter. Elle n’a pas ordonné aux mis en cause de stopper leurs violences, alors qu’elle en avait l’autorité.
(…) Les quatre policiers de la Bac de Marseille, mis en examen, ont toujours interdiction d’exercer leur métier mais perçoivent leur salaire. La commandante de police, elle, n’est toujours pas poursuivie à ce stade.

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AU TRIBUNAL, LE PROCÈS D’UN POLICIER DÉJÀ MIS EN EXAMEN POUR VIOLENCES DURANT LES ÉMEUTES


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Le tribunal juge ce vendredi un policier de la BAC centre de Marseille pour « violences volontaires » sur un jeune homme. L’agent est aussi mis en cause dans l’affaire Hedi, du nom du jeune homme grièvement blessé à la tête lors des émeutes de 2023.

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LE CRÂNE D’HEDI AURAIT ÉTÉ FRACASSÉ À COUPS DE MATRAQUE

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Le 1er juillet 2023, Nahel a été tué trois jours plus tôt par un policier, et la révolte gronde dans toute la France contre les violences d’État.
À Marseille, une bande de 4 policiers de la BAC croise Hedi et un ami dans une rue. Ils lui tirent dessus : une balle en caoutchouc en pleine tête. Hedi s’effondre, gravement blessé. Les policiers le traînent au sol pour aller le tabasser dans une ruelle et l’abandonnent là. Laissé pour mort.

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