UN PROCÈS POUR « MEURTRE » POUR L’ASSASSIN DE NAHEL
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Extrait
C’est une décision logique, car au début du mois de mars, le parquet de Nanterre demandait que le policier tireur soit jugé pour homicide volontaire. Selon lui, «le policier ne pouvait ignorer le caractère très probablement mortel de son tir». Le parquet confirmait l’absence de risque d’écrasement pour les deux policiers, ainsi que la possibilité de «tirer en direction des pneus ou du capot du véhicule pour l’empêcher de poursuivre sa course».