En période de restriction budgétaire, annoncer qu’on va acheter des pistolets à des agents municipaux, évidemment que certains citoyens vont s’interroger sur le sens des priorités.
Le procès devait initialement avoir lieu le 2 octobre. Mais, conformément aux réquisitions du parquet, le tribunal correctionnel a ordonné son renvoi « en saisissant l’inspection générale de la police nationale (IGPN) afin de déterminer si le policier du commissariat de Béziers ayant fait l’usage de son arme était effectivement en danger au moment du tir à l’issue de la course-poursuite, notamment sur la base d’une vidéo de la scène prise par des témoins et diffusée sur des réseaux sociaux. » L’IGPN a conclu à l’absence de danger pour les deux policiers. Le tribunal a donc écarté la circonstance aggravante de mise en danger délibérée des policiers dans le cadre du refus d’obtempérer.
Entre 2013 et 2016, LVMH a voulu faire taire le député de la Somme, avant qu’il ne soit élu de la Nation. A l’époque journaliste à la tête de l’impertinent trimestriel Fakir, le Picard indisposait au plus haut point la direction de la multinationale. Mais les opérations de basse police du géant du luxe, confiées à l’ex-grand flic Bernard Squarcini, ont tourné au fiasco et le trublion Ruffin s’est joué de son adversaire. Second volet de notre série, alors que le procès Squarcini débute ce mercredi à Paris.
Le policier de la Bac d’Amiens, au-dessus de tout soupçon au moment de son interpellation en mars 2023, est renvoyé devant la cour d’assises pour sept faits, à Chaulnes et Nesle. Il en reconnaît cinq.