« JE N’AI RIEN CONTRE LES « GILETS JAUNES », JE FAISAIS MON TRAVAIL »: LA JUSTICE REND SON HONNEUR AU COMMANDANT DIDIER ANDRIEUX, POURSUIVI POUR « VIOLENCES POLICIÈRES » À TOULON

var-matin


Article de presse réservé aux abonné-e-s

Extrait
L’affaire avait éclaté après la diffusion de vidéos d’interpellations sur les réseaux sociaux.
L’un de ces enregistrements montrait l’officier portant cinq coups au visage d’un individu qui, indifférent au mouvement des « gilets jaunes », a reconnu avoir opportunément provoqué les forces de l’ordre.
« La protection des agents »
Cette séquence a fait l’objet d’un non-lieu pendant l’instruction. Selon un expert, il s’agissait d’un « geste référencé dans le contenu des formations » suivies par les policiers.


Le suspect ne présentait aucune blessure. « Mon souci à ce moment-là, c’est la protection des agents sous mes ordres et je suis certain qu’il avait quelque chose dans la main », a répété Didier Andrieux.
Reste deux autres scènes dans lesquelles l’officier a été mis en cause. Une femme s’était plainte d’avoir reçu un coup de tête. Elle a nuancé son témoignage lors d’une confrontation – « s’il avait voulu me faire du mal, il m’aurait cassé le nez » – et n’était ni présente, ni représentée à l’audience du tribunal.

« JE N’AI RIEN CONTRE LES « GILETS JAUNES », JE FAISAIS MON TRAVAIL »: LA JUSTICE REND SON HONNEUR AU COMMANDANT DIDIER ANDRIEUX, POURSUIVI POUR « VIOLENCES POLICIÈRES » À TOULON