05/09/2025
Il indiquait être réveillé toutes les deux heures par les surveillants, qui allumaient systématiquement les lumières de sa cellule.
(…) un juge de la liberté et de la détention (JLD) de Lille, saisi par le plaignant, avait d’ailleurs reconnu « une pratique susceptible d’affecter gravement la qualité de son sommeil, d’affecter sa santé mentale et, in fine, de porter atteinte à sa dignité ».
