LE CHEF DE LA BRAV-M A ÉTÉ MIS EN EXAMEN POUR DES VIOLENCES COMMISES SUR DES MANIFESTANTS MAIS IL EST RESTE EN SERVICE

L’Indépendant


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Il est poursuivi pour « violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique » et pour « violences volontaires ayant entraîné une incapacité de travail de plus de huit jours par personne dépositaire de l’autorité publique et avec arme ». Ce jour-là, il a fracturé le nez d’un journaliste syrien, Ameer Al-Halbi, à l’aide de sa matraque télescopique, et a frappé un étudiant effondré au sol, rue de la Bastille, à Paris. Des faits confirmés par une vidéo.


Au cours d’une charge particulièrement violente, « le policier a porté onze coups, en moins de vingt secondes, sur des journalistes ou des manifestants lui tournant le dos », détaillent nos confrères.
Il serait également impliqué pour d’autres violences commises au cours d’une manifestation contre la réforme des retraites en mars 2023.

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